http://www.lesoir.be/chat/?p=286&cp=1#comments
Bonjour Mr Philippot,
Merci d’avoir accepté de répondre à ce débat à fleur de peau. C’est normal qu’il soit sensible, on touche à notre histoire, à notre identité, à ce que l’on vit ou ce que l’on souhaite comme modèle de société.
Personnellement, je n’ai pas apprécié du tout la formule de l’émission, même si l’effet prise de conscience est le seul point positif qui en est ressorti, pour les francophones comme pour les néerlandophones, surtout pour des Belges un peu trop endormis et se laissant mener par des partis politiques sans beaucoup de scrupule ou de sens de l’Etat, du service public. Car cela devrait être cela la politique : la gestion de la vie en société en vue du bien commun. Mais cela aussi, cela tient de la fiction !
Si la RTBF s’était mise à la place des Flamands (de la population), avec la ferme volonté de les respecter et de travailler sur une base critique et objective, avant de réaliser une telle émission qui généralise et stigmatise, en réfléchissant sérieusement aux effets ultérieurs, elle n’aurait pu que s’abstenir. Il n’y a pas que des bons Belges d’un côté et des séparatistes de l’autre. L’histoire nous a d’ailleurs montré que la tendance pouvait changer de côté.
Si la RTBF veut être militante sur ce thème, qu’elle oeuvre davantage en vue de réunir les personnes. Qu’elle tente d’apaiser les conflits et pas seulement de relever ceux-ci. Le débat qui a suivi la mise en scène était d’ailleurs caractéristique d’une certaine pratique journalistique tendant davantage à opposer plutôt qu’à confronter les points de vue. Ce face à face physique entre Flamands et francophones, et le choix des personnalités … Cela ne pouvait qu’être explosif ! Nous sommes loin d’une volonté de chercher à rapprocher les points de vue. Pourquoi ? Car cela pourrait être aussi un objectif d’une presse qui se veut engagée.
Comment ne pas relever, dans le même ordre d’idée également, cette chasse à l’info malsaine à chaque sortie de Val Duchesse, du Belvédère, du Parlement ou du dernier resto où l’on cause, alors que la discrétion (souvent payante) était de mise entre négociateurs …! Le politicien succombant trop facilement à la tentation de faire parler de lui, quelque soient les dégats collatéraux, la presse a peut-être aussi un certain devoir de réserve.
Et il s’agit ici d’une critique que l’on peut émettre à l’égard de plusieurs organes de presse. Le sens des responsabilités incombe aussi aux journalistes, aux rédacteurs et à leurs conseils d’administration.
jeudi, décembre 13, 2007
lundi, décembre 03, 2007
Lettre aux leaders de la Violette
Monsieur le Premier Ministre,
Mesdames et Messieurs les Vice-Premiers Ministres,
Permettez-moi, si vous le voulez bien bien, de vous interpeller sur la question du Gouvernement actuel qui est dit "en affaire courantes".
Trop souvent, me semble-t-il, il est dit dans les médias, par des journalistes ou des personnalités politiques, que notre pays est sans Gouvernement. Ce qui n'est pas la réalité.
Notre pays n'est jamais sans Gouvernement, pas même après 6 mois de crise dans la recherche de formation d'un nouveau Gouvernement. Je pense qu'il est primordial qu'il soit régulièrement rappelé que la Belgique possède toujours un Gouvernement. Cela n'est pas sans conséquence vis-à-vis des investisseurs prêts ou hésitant à venir s'installer chez nous, et donc avec un effet sur l'emploi, sur le niveau de vie de la population.
Ensuite, étant donné la crise politique qui se prolonge, nous croyons que le Gouvernement actuel a le devoir désormais de gérer le pays au-delà des simples affaires courantes.
Bien sûr ce Gouvernement n'a plus la majorité qu'il avait au Parlement avant les dernières élections. Il devrait néanmoins prendre aujourd'hui les décisions urgentes qui s'imposent et mettre les différentes formations présentes au Parlement face à leurs responsabilités en les forçant à se positionner en soutenant ou non, publiquement, les mesures que le Gouvernement est prêt à prendre. Il s'agit de gérer le pays sur base des principes fondamentaux de "bon père de famille" et de "précaution".
Trop de problématiques importantes restent aujourd'hui en suspens, ne sont actuellement nullement gérées ou trop tardivement (ex. le cliquet pour les carburants), or elles touchent directement la population. Et la grogne de celle-ci, face à la folle envolée des prix des matières premières, entraînant une augmentation forte du coût de la vie, une chute du pouvoir d'achat, sera à un moment donné difficilement maîtrisable. Les syndicats commencent à s'agiter et nul doute qu'ils seront largement suivis. Que cela soit sur la question du pouvoir d'achat, des craintes sur la pérénité des revenus de remplacement ou du maintien d'une sécurité sociale fédérale. Sans oublier l'urgence de l'établissement du budget, les nominations qui sont en attente, ce qui bloque le bon fonctionnement des services publics.
La demande des citoyens que leurs besoins réels soient sérieusement pris en compte est de plus en plus pressante. On ne peut plus se permettre d'attendre encore indéfiniment un accord hypothétique de nouveau Gouvernement avant de prendre les mesures qui s'imposent.
Puis-je vous demander de bien vouloir me confirmer si cette requête de la population est bien entendue et si vous êtes prêts à y répondre favorablement et dans quelle mesure.
En vous remerciant d'avance pour l'attention que vous aurez bien voulu accorder à ce courrier et dans l'attente de votre réponse, je vous prie de croire en l'expression de mes sentiments très respectueux.
Pierre-Alexandre de Maere d'Aertrycke
Mesdames et Messieurs les Vice-Premiers Ministres,
Permettez-moi, si vous le voulez bien bien, de vous interpeller sur la question du Gouvernement actuel qui est dit "en affaire courantes".
Trop souvent, me semble-t-il, il est dit dans les médias, par des journalistes ou des personnalités politiques, que notre pays est sans Gouvernement. Ce qui n'est pas la réalité.
Notre pays n'est jamais sans Gouvernement, pas même après 6 mois de crise dans la recherche de formation d'un nouveau Gouvernement. Je pense qu'il est primordial qu'il soit régulièrement rappelé que la Belgique possède toujours un Gouvernement. Cela n'est pas sans conséquence vis-à-vis des investisseurs prêts ou hésitant à venir s'installer chez nous, et donc avec un effet sur l'emploi, sur le niveau de vie de la population.
Ensuite, étant donné la crise politique qui se prolonge, nous croyons que le Gouvernement actuel a le devoir désormais de gérer le pays au-delà des simples affaires courantes.
Bien sûr ce Gouvernement n'a plus la majorité qu'il avait au Parlement avant les dernières élections. Il devrait néanmoins prendre aujourd'hui les décisions urgentes qui s'imposent et mettre les différentes formations présentes au Parlement face à leurs responsabilités en les forçant à se positionner en soutenant ou non, publiquement, les mesures que le Gouvernement est prêt à prendre. Il s'agit de gérer le pays sur base des principes fondamentaux de "bon père de famille" et de "précaution".
Trop de problématiques importantes restent aujourd'hui en suspens, ne sont actuellement nullement gérées ou trop tardivement (ex. le cliquet pour les carburants), or elles touchent directement la population. Et la grogne de celle-ci, face à la folle envolée des prix des matières premières, entraînant une augmentation forte du coût de la vie, une chute du pouvoir d'achat, sera à un moment donné difficilement maîtrisable. Les syndicats commencent à s'agiter et nul doute qu'ils seront largement suivis. Que cela soit sur la question du pouvoir d'achat, des craintes sur la pérénité des revenus de remplacement ou du maintien d'une sécurité sociale fédérale. Sans oublier l'urgence de l'établissement du budget, les nominations qui sont en attente, ce qui bloque le bon fonctionnement des services publics.
La demande des citoyens que leurs besoins réels soient sérieusement pris en compte est de plus en plus pressante. On ne peut plus se permettre d'attendre encore indéfiniment un accord hypothétique de nouveau Gouvernement avant de prendre les mesures qui s'imposent.
Puis-je vous demander de bien vouloir me confirmer si cette requête de la population est bien entendue et si vous êtes prêts à y répondre favorablement et dans quelle mesure.
En vous remerciant d'avance pour l'attention que vous aurez bien voulu accorder à ce courrier et dans l'attente de votre réponse, je vous prie de croire en l'expression de mes sentiments très respectueux.
Pierre-Alexandre de Maere d'Aertrycke
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mardi, novembre 27, 2007
Inscriptions dans les écoles ... Nous y voilà !
Chers parents,
NOS LIBERTES SONT EN DANGER.
Les décrets se succèdent en matière d’enseignement qui limitent de plus en plus les libertés des parents et les libertés pédagogiques de nos écoles.
IL EST TEMPS D’AGIR
NOS LIBERTES SONT EN DANGER.
Les décrets se succèdent en matière d’enseignement qui limitent de plus en plus les libertés des parents et les libertés pédagogiques de nos écoles.
IL EST TEMPS D’AGIR
Parents responsables, opposons-nous avec force notamment au décret "Inscription" qui viole nos droits de parents notamment en nous empêchant de changer nos enfants d’école en cours de cycle quand nous l’estimons nécessaire, en supprimant d’ici deux ans la priorité P.O. (priorité accordée pour les enfants de l’école primaire qui voudraient poursuivre leur cursus pédagogique au sein de la même école), en nous obligeant « à faire la file » pour inscrire nos enfants comme on irait à la boucherie…
Si vous avez des enfants à l’école primaire ou maternelle, vous avez la possibilité gratuite d'introduire un recours en annulation contre le décret inscription devant la cour constitutionnelle et ce, au plus vite et avant le 3 janvier 2008.
COMMENT FAUT-IL PROCEDER ?
IL EXISTE UNE POSSIBILITE GRATUITE ET COMPORTANT DES FORMALITES MINIMUM POUR INTRODUIRE CE RECOURS
Le syndicat libre de la fonction publique (SLFP-Enseignement), alerté par l’ampleur de la mobilisation citoyenne qui s’est manifestée à l’encontre de ce décret, et par les réactions négatives des acteurs de terrain, met à disposition de tous les parents (syndiqués ou non) ses moyens financiers et juridiques pour introduire ce recours en annulation devant la Cour constitutionnelle.
Le site Internet du syndicat présente un formulaire destiné aux particuliers, même s’ils ne sont pas syndiqués, mais pour autant qu’ils aient qualité à agir, c’est-à-dire qu’ils aient un enfant en âge scolaire qui sera concerné par l’application du décret. Les renseignements utiles figurent à l’adresse suivante : http://www.slfp-enseignement.be/
Le syndicat rassemblera l’ensemble des griefs, et les regroupera en un unique recours devant la Cour constitutionnelle.
CONCRETEMENT
Un mandat devra être conféré au cabinet de Maître Vincent DE WOLF, dans les termes suivants :
Je, soussigné (Nom de famille1)................................., (Prénom).....................................,
(Profession).................................,
(domicile)................................................................,
parent de (Nom de famille)......................................., (Prénom).....................................,
(Date de naissance) ....../....../ ….., mandate expressément le cabinet « Vincent De Wolf & Associés », pour introduire et poursuivre, en son nom et pour son compte, un recours en annulation devant la Cour constitutionnelle à l’encontre des titres III et IV du décret du 27 février 2007, publié le 3 juillet 2007, portant diverses mesures visant à réguler les inscriptions et les changements d’école dans l’enseignement obligatoire.
Fait à ..............................., le (Date) ....../....../2007
Signature :
Devront être joints à ce mandat les documents suivants :
1) Nom, prénom, profession, domicile légal de la personne qui introduit le recours,
2) Composition du ménage obtenue à la maison communale
ou démonstration de l’exercice de l’autorité parentale (attestée par un certificat de naissance de cet(ces) enfant(s), obtenu auprès de l’administration communale
3) Age(s) de (des) enfant concerné(s)
4) Attestation de fréquentation scolaire obtenue à l'école de vbotre enfant
5) Une photocopie de la carte d’identité de la personne qui introduit le recours
Le tout devant être renvoyé au SLFP-Enseignement, rue du Commerce, n° 20 à 1000 Bruxelles.
Pour en savoir plus consultez le site : http://www.eleves.be/. N'hésitez pas à vous inscrire à la news letters pour nous soutenir et à répandre cette information le plus largement possible.
Célinie BRABANT
pour ELEVeS
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mercredi, novembre 21, 2007
Belgique radieuse !
Quelle belle journée, ce 18 novembre, drapée de noir-jaune-rouge sous l'éclat du soleil !
Le coeur des marcheurs était à la fête ce dimanche, Belges de tous âges et des 4 coins de notre beau pays, marchant ensemble dans la même direction.
Merci à Marie-Claire, Vincent et Guy qui se sont dévoués sans compter pendant plus de trois mois pour porter à la connaissance des politiques et des médias notre volonté de vivre ensemble et notre désir que l'on s'occupe des vrais problèmes des gens, des vrais enjeux de notre société.
Merci à tous ceux qui les ont rejoint discrètement mais sans lesquels cette initiative citoyenne n'aurait pas eu l'impact que nous avons connu. Dessinateur, traducteur, colleurs, distributeurs, récolteurs et autres imprimeurs ou diffuseurs, tous d'un coeur à l'unisson ont témoigné d'un réel enthousiasme et d'une véritable générosité.
Et que ce cri du coeur à présent soit répercuté par une information objective par TOUS les médias.
Que cet appel au bon sens, à la main tendue, à l'unité par delà les différences soit entendu par TOUS les politiques. Qu'il y en ait parmi les élus qui aient cette même audace, ce même courage, ce sens politique du bien commun et ce sens des responsabilités que l'on est en droit d'attendre de chacun d'eux.
Au placard désormais les stratégies politiciennes visant à se montrer le plus protecteur des francophones, le plus flamand, par des positions intransigeantes, par des mesures inadmissibles, par des replis sur soi ou des contre-réactions. Quelle surenchère ! Que d'orgueil ! Que de déclarations boute-feu ! Que de mauvaise volonté ! Indignes de la part des représentants de toute une population. Et tellement dangereux : cela ne fait que le lit des extrémistes ! La raison de leur succès n'est pas à rechercher plus loin que dans la manière dont la politique est exercée !
Ceux qui auront notre soutien inconditionnel seront ceux qui sauront se montrer désormais ouverts, constructifs, positifs, attentifs à l'autre avant la recherche de son propre intérêt, de l'intérêt de sa propre corporation, communauté, de son seul électorat.
Il est grand temps maintenant de quitter le bac à sable et de rejoindre la cour des grands, pour rendre honneur aux hémicycles d'un Parlement où la Belgique attend des femmes et hommes d'Etat !
Le coeur des marcheurs était à la fête ce dimanche, Belges de tous âges et des 4 coins de notre beau pays, marchant ensemble dans la même direction.
Merci à Marie-Claire, Vincent et Guy qui se sont dévoués sans compter pendant plus de trois mois pour porter à la connaissance des politiques et des médias notre volonté de vivre ensemble et notre désir que l'on s'occupe des vrais problèmes des gens, des vrais enjeux de notre société.
Merci à tous ceux qui les ont rejoint discrètement mais sans lesquels cette initiative citoyenne n'aurait pas eu l'impact que nous avons connu. Dessinateur, traducteur, colleurs, distributeurs, récolteurs et autres imprimeurs ou diffuseurs, tous d'un coeur à l'unisson ont témoigné d'un réel enthousiasme et d'une véritable générosité.
Et que ce cri du coeur à présent soit répercuté par une information objective par TOUS les médias.
Que cet appel au bon sens, à la main tendue, à l'unité par delà les différences soit entendu par TOUS les politiques. Qu'il y en ait parmi les élus qui aient cette même audace, ce même courage, ce sens politique du bien commun et ce sens des responsabilités que l'on est en droit d'attendre de chacun d'eux.
Au placard désormais les stratégies politiciennes visant à se montrer le plus protecteur des francophones, le plus flamand, par des positions intransigeantes, par des mesures inadmissibles, par des replis sur soi ou des contre-réactions. Quelle surenchère ! Que d'orgueil ! Que de déclarations boute-feu ! Que de mauvaise volonté ! Indignes de la part des représentants de toute une population. Et tellement dangereux : cela ne fait que le lit des extrémistes ! La raison de leur succès n'est pas à rechercher plus loin que dans la manière dont la politique est exercée !
Ceux qui auront notre soutien inconditionnel seront ceux qui sauront se montrer désormais ouverts, constructifs, positifs, attentifs à l'autre avant la recherche de son propre intérêt, de l'intérêt de sa propre corporation, communauté, de son seul électorat.
Il est grand temps maintenant de quitter le bac à sable et de rejoindre la cour des grands, pour rendre honneur aux hémicycles d'un Parlement où la Belgique attend des femmes et hommes d'Etat !
jeudi, novembre 15, 2007
Cardinal Danneels : "Accepter l'autre dans son altérité"
Fête du Roi
Cardinal Danneels : "Accepter l'autre dans son altérité"
LLB - Mis en ligne le 15/11/2007
http://www.lalibre.be/article.phtml?id=10&subid=90&art_id=383448
- - - - - - - - - - -
Lors de la célébration du Te Deum à l'occasion de la Fête du Roi, le cardinal Godfried Danneels a appelé dans son homélie à prier pour notre pays "dans sa différence et dans son unité".
Lors de la célébration du Te Deum à l'occasion de la Fête du Roi, le cardinal Godfried Danneels a appelé dans son homélie à prier pour notre pays "dans sa différence et dans son unité".
Le cardinal a déclaré que le Christ est venu apporter aux hommes "la politique du coeur". Pour lui, il s'agit d'apprendre comment vivre avec l'autre, "vivre dans l'altérité".
"Vivre dans ce paradoxe de l'altérité, c'est vivre dans l'amour. Jésus ne fait que dire cela durant toute sa vie: 'Aimez-vous les uns les autres', 'Aimez même vos ennemis'. Les autres! ", insiste Godfried Danneels. Le cardinal a conclu son homélie en citant une lettre de Paul aux Philippins.
"'Ne faites rien par rivalité, rien par gloriole, mais avec humilité, considérez les autres comme supérieurs à vous'. Je n'ose presque pas le dire en ces circonstances. Mais puisque saint Paul le dit", a encore ajouté le cardinal.
Cardinal Danneels : "Accepter l'autre dans son altérité"
LLB - Mis en ligne le 15/11/2007
http://www.lalibre.be/article.phtml?id=10&subid=90&art_id=383448
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Lors de la célébration du Te Deum à l'occasion de la Fête du Roi, le cardinal Godfried Danneels a appelé dans son homélie à prier pour notre pays "dans sa différence et dans son unité".
Lors de la célébration du Te Deum à l'occasion de la Fête du Roi, le cardinal Godfried Danneels a appelé dans son homélie à prier pour notre pays "dans sa différence et dans son unité".
Le cardinal a déclaré que le Christ est venu apporter aux hommes "la politique du coeur". Pour lui, il s'agit d'apprendre comment vivre avec l'autre, "vivre dans l'altérité".
"Vivre dans ce paradoxe de l'altérité, c'est vivre dans l'amour. Jésus ne fait que dire cela durant toute sa vie: 'Aimez-vous les uns les autres', 'Aimez même vos ennemis'. Les autres! ", insiste Godfried Danneels. Le cardinal a conclu son homélie en citant une lettre de Paul aux Philippins.
"'Ne faites rien par rivalité, rien par gloriole, mais avec humilité, considérez les autres comme supérieurs à vous'. Je n'ose presque pas le dire en ces circonstances. Mais puisque saint Paul le dit", a encore ajouté le cardinal.
lundi, novembre 12, 2007
Marche pour l'unité 18 nov 07
Mars voor eenheid 18 nov 07
Bruxelles - 10h/u - Brussel
http://www.e-monsite.com/belgiebelgiqueunie
Bruxelles - 10h/u - Brussel
http://www.e-monsite.com/belgiebelgiqueunie
mercredi, novembre 07, 2007
11/11/2007 : be-day for peace in Belgium !
Kermesse pour la paix en Belgique ! Magnifique initiative !
Vredeskermis voor België ! Prachtige initiatief !
Ce 11 novembre 2007 de 15h à 22h à 1090 Jette, Square des Bruxellois, rue des Flamands et rue des Wallons !
Deze 11 november 2007 van 15u naar 22u te 1090 Jette, Brusselaarsplein, Vlamingenstraat en Walenstraat !
http://www.be-day.be/be-day/asp/home.asp
Un rendez-vous à ne pas manquer !
Kermesse aux frites, boudins, caricoles
Dégustation de bières et de fromages bien belges
Spectacles de rue, mimes, acrobates, chanteurs de rues
Maquillage NJR en Apache flamand ou Wallon sioux et l’inverse
Concours d’aménagement tricolore des fenêtres des maisons des riverains des rues des Flamands et Wallons
Concours de lâchers de grappes de ballons tricolores dans le grand hall du belgicarium, la grappe revenant au sol la dernière donnant droit à un voyage en ballon ;
Concours de déguisement noir, jaune et rouge avec attribution de trois œuvres d’art déguisées aux trois plus spectaculaires ;
Stands pour la pétition.be, vente de drapeaux, réalisation d’oriflammes…
********
Kermis met frieten, pens en slakken
Proeven van echte Belgische bieren en kazen
Straatvoorstellingen met pantomimespelers, acrobaten en straatzangers
Zwart-geel-rood schmink als Vlaamse Apache of Waalse Sioux en omgekeerd
Wedstrijd van de mooiste raamversiering door de bewoners van de Vlamingen- en de Walenstraat.
Oplaten van driekleurige ballonnentrossen in de grote hal van het Belgicarium, met een reis in een ballon als prijs voor de ballonnentros die het laatst terugvalt.
Verkleedwedstrijd in zwart-geel-rood, met drie verkleedde kunstwerken als prijs voor de drie meest spectaculaire verkledingen.
"petition.be" stands, verkoop van vlaggen, maken van vaandels…
Vredeskermis voor België ! Prachtige initiatief !
Ce 11 novembre 2007 de 15h à 22h à 1090 Jette, Square des Bruxellois, rue des Flamands et rue des Wallons !
Deze 11 november 2007 van 15u naar 22u te 1090 Jette, Brusselaarsplein, Vlamingenstraat en Walenstraat !
http://www.be-day.be/be-day/asp/home.asp
Un rendez-vous à ne pas manquer !
Kermesse aux frites, boudins, caricoles
Dégustation de bières et de fromages bien belges
Spectacles de rue, mimes, acrobates, chanteurs de rues
Maquillage NJR en Apache flamand ou Wallon sioux et l’inverse
Concours d’aménagement tricolore des fenêtres des maisons des riverains des rues des Flamands et Wallons
Concours de lâchers de grappes de ballons tricolores dans le grand hall du belgicarium, la grappe revenant au sol la dernière donnant droit à un voyage en ballon ;
Concours de déguisement noir, jaune et rouge avec attribution de trois œuvres d’art déguisées aux trois plus spectaculaires ;
Stands pour la pétition.be, vente de drapeaux, réalisation d’oriflammes…
********
Kermis met frieten, pens en slakken
Proeven van echte Belgische bieren en kazen
Straatvoorstellingen met pantomimespelers, acrobaten en straatzangers
Zwart-geel-rood schmink als Vlaamse Apache of Waalse Sioux en omgekeerd
Wedstrijd van de mooiste raamversiering door de bewoners van de Vlamingen- en de Walenstraat.
Oplaten van driekleurige ballonnentrossen in de grote hal van het Belgicarium, met een reis in een ballon als prijs voor de ballonnentros die het laatst terugvalt.
Verkleedwedstrijd in zwart-geel-rood, met drie verkleedde kunstwerken als prijs voor de drie meest spectaculaire verkledingen.
"petition.be" stands, verkoop van vlaggen, maken van vaandels…
samedi, octobre 13, 2007
Pétition pour l'unité de la Belgique - Recherche distributeurs de tracts
http://www.lapetition.be/petition.php?petid=408
Les responsables de cette belle pétition en faveur de la Belgique recherchent d'URGENCE des personnes prêtes à distribuer le tract (A5) en toutes boîtes sur tout le territoire du pays !
Plusieurs millions de tracts à distribuer avant le 16 novembre!
Vous pouvez me contacter ou bien les responsables de cette action.
Merci d'avance !
Pierre-Alexandre de Maere d'Aertrycke
pa.demaere@belgacom.net
0494 39 20 21
Les responsables de cette belle pétition en faveur de la Belgique recherchent d'URGENCE des personnes prêtes à distribuer le tract (A5) en toutes boîtes sur tout le territoire du pays !
Plusieurs millions de tracts à distribuer avant le 16 novembre!
Vous pouvez me contacter ou bien les responsables de cette action.
Merci d'avance !
Pierre-Alexandre de Maere d'Aertrycke
pa.demaere@belgacom.net
0494 39 20 21
mercredi, octobre 10, 2007
Aernoudt versus Moerman
Fientje Moerman (Open VLD) vient de démissionner de son poste de ministre flamande de l'économie, suite au rapport de l'ombudsman flamand.
Rudy Aernoudt, l'ancien chef de cabinet de la ministre avait introduit une plainte auprès du médiateur, après avoir constaté des irrégularités dans la gestion du cabinet.
Suite à cette plainte, ainsi qu'à ses prises de positions publiques visant à plus de compréhension et de collaboration entre les Communautés et Régions de notre pays, cassant les apriori des uns et des autres, Rudy Aernoudt avait été limogé par le Gouvernement flamand.
Aujourd'hui, il faut constater trois éléments importants.
Premièrement et il faut s'en réjouir, le service de médiation a rapidement et bien travaillé, en toute indépendance, permettant de clarifier la situation et que des mesures soient prises.
Deuxièmement, un haut fonctionnaire a pris ses véritables responsabilités, dans un esprit civique et au risque de perdre son emploi, afin que l'Etat de droit soit respecté.
Troisièmement, la ministre en cause a immédiatement démissionné, sans attendre une décision de justice, qui aurait vraisemblablement fait traîner les choses en longueur. C'est un comportement que l'on voudrait voir plus généralisé dans l'ensemble du pays, lorsque des personnalités politiques sont ainsi mises en cause.
Enfin, il faut admirer la réaction de Rudy Aernoudt, suite aux conclusions de l'enquête, qui, plutôt que de prendre une sérieuse revanche, propose immédiatement la recherche d'une solution structurelle face à la problématique des marchés publics. Il rappelle qu'il faudrait que l'audit puisse avoir accès aux cabinets ministériels et suggère que ce soient les départements et non les cabinets eux-mêmes qui devraient être en charge des procédures sur les contrats, afin que les écarts par rapports à celles-ci soient rendus plus difficiles.
Il ne reste plus au Gouvernement flamand qu'à réintégrer son haut fonctionnaire, pour service rendu à l'administration et à la bonne gouvernance de la nation !
Et pourquoi pas à l'Open VLD de proposer en remplacement de Fientje Moerman ... Rudy Aernoudt !
Rudy Aernoudt, l'ancien chef de cabinet de la ministre avait introduit une plainte auprès du médiateur, après avoir constaté des irrégularités dans la gestion du cabinet.
Suite à cette plainte, ainsi qu'à ses prises de positions publiques visant à plus de compréhension et de collaboration entre les Communautés et Régions de notre pays, cassant les apriori des uns et des autres, Rudy Aernoudt avait été limogé par le Gouvernement flamand.
Aujourd'hui, il faut constater trois éléments importants.
Premièrement et il faut s'en réjouir, le service de médiation a rapidement et bien travaillé, en toute indépendance, permettant de clarifier la situation et que des mesures soient prises.
Deuxièmement, un haut fonctionnaire a pris ses véritables responsabilités, dans un esprit civique et au risque de perdre son emploi, afin que l'Etat de droit soit respecté.
Troisièmement, la ministre en cause a immédiatement démissionné, sans attendre une décision de justice, qui aurait vraisemblablement fait traîner les choses en longueur. C'est un comportement que l'on voudrait voir plus généralisé dans l'ensemble du pays, lorsque des personnalités politiques sont ainsi mises en cause.
Enfin, il faut admirer la réaction de Rudy Aernoudt, suite aux conclusions de l'enquête, qui, plutôt que de prendre une sérieuse revanche, propose immédiatement la recherche d'une solution structurelle face à la problématique des marchés publics. Il rappelle qu'il faudrait que l'audit puisse avoir accès aux cabinets ministériels et suggère que ce soient les départements et non les cabinets eux-mêmes qui devraient être en charge des procédures sur les contrats, afin que les écarts par rapports à celles-ci soient rendus plus difficiles.
Il ne reste plus au Gouvernement flamand qu'à réintégrer son haut fonctionnaire, pour service rendu à l'administration et à la bonne gouvernance de la nation !
Et pourquoi pas à l'Open VLD de proposer en remplacement de Fientje Moerman ... Rudy Aernoudt !
mardi, octobre 09, 2007
Décret inscriptions: la majorité PS-cdH veut assouplir les conditions
La proposition de décret déposée ce mardi 9 octobre par la majorité PS-cdH au Parlement de la Communauté française pour déjà assouplir certaines dispositions du décret inscription cache mal la difficulté qu'éprouve la mise en oeuvre, dans la réalité concrète, d'un règlement à caractère essentiellement idéologique.
En fait la nouvelle proposition n'assouplit nullement le fond du décret, mais est rendue nécessaire dans certaines situations spécifiques (internats et immersion) où il n'existe pas d'alternative concrète et où le décret butte donc contre la réalité du terrain. L'autre partie de la proposition ne faisant que repousser ses effets dans le temps (deux ans) pour les enfants déjà inscrits dans le secondaire. Rien de changé donc fondamentalement dans toutes les autres situations.
Ce décret avait provoqué une vague de protestations citoyennes, à laquelle s'était joint le CDF. Parents, enseignants et directions d'écoles ont rapidement et massivement fait connaître leur mécontentement, relayés dans l'enceinte parlementaire par le MR. Ce véritable "soulèvement" avait eu pour effet un petit ravalement de facade du texte de départ, suite aux craintes du cdH surtout, ce dernier, surpris, ne voulant ni perdre la face ni perdre trop d'électeurs peu de temps avant l'échéance des élections fédérales.
Pour rappel, le CDF avait marqué son opposition à ce décret principalement pour les raisons suivantes.
Le droit des parents à choisir l'école pour leurs enfants est un droit fondamental, il fait partie des libertés garanties par notre Constitution. La pluralité des réseaux et l'organisation propre à chacun de ceux-ci, ainsi que la continuité de projets pédagogiques de certaines écoles dispensés à leurs élèves en primaire et poursuivis parfois en secondaire doivent pouvoir être assurés. Or ce décret vient mettre à mal ces libertés fondamentales des écoles et des parents.
Le prétexte avancé alors par la majorité PS-cdH était de favoriser la mixité sociale, principe vis-à-vis duquel le CDF n'est pas du tout défavorable. Cependant le moyen utilisé, l'ingérence du pouvoir politique et surtout l'objectif avoué du cdH de tenter de mettre ainsi fin à l'existence d'écoles "élitistes" (sic) sont absolument inacceptables. Il s'agit, en fait, d'un processus ayant pour effet un nivellement par le bas, cher à la Présidente de la Communauté française, alors que l'enseignement souffre déjà d'un manque de qualité et que la réalité du monde du travail est en recherche de travailleurs de plus en plus qualifiés.
Lire dans le Soir :
http://actu.skynet.be/index.html?l1=actuality&l2=news&l3=homepage&l4=detail&id=227472&new_lang=fr
Décret inscriptions: la majorité veut assouplir les conditions
En fait la nouvelle proposition n'assouplit nullement le fond du décret, mais est rendue nécessaire dans certaines situations spécifiques (internats et immersion) où il n'existe pas d'alternative concrète et où le décret butte donc contre la réalité du terrain. L'autre partie de la proposition ne faisant que repousser ses effets dans le temps (deux ans) pour les enfants déjà inscrits dans le secondaire. Rien de changé donc fondamentalement dans toutes les autres situations.
Ce décret avait provoqué une vague de protestations citoyennes, à laquelle s'était joint le CDF. Parents, enseignants et directions d'écoles ont rapidement et massivement fait connaître leur mécontentement, relayés dans l'enceinte parlementaire par le MR. Ce véritable "soulèvement" avait eu pour effet un petit ravalement de facade du texte de départ, suite aux craintes du cdH surtout, ce dernier, surpris, ne voulant ni perdre la face ni perdre trop d'électeurs peu de temps avant l'échéance des élections fédérales.
Pour rappel, le CDF avait marqué son opposition à ce décret principalement pour les raisons suivantes.
Le droit des parents à choisir l'école pour leurs enfants est un droit fondamental, il fait partie des libertés garanties par notre Constitution. La pluralité des réseaux et l'organisation propre à chacun de ceux-ci, ainsi que la continuité de projets pédagogiques de certaines écoles dispensés à leurs élèves en primaire et poursuivis parfois en secondaire doivent pouvoir être assurés. Or ce décret vient mettre à mal ces libertés fondamentales des écoles et des parents.
Le prétexte avancé alors par la majorité PS-cdH était de favoriser la mixité sociale, principe vis-à-vis duquel le CDF n'est pas du tout défavorable. Cependant le moyen utilisé, l'ingérence du pouvoir politique et surtout l'objectif avoué du cdH de tenter de mettre ainsi fin à l'existence d'écoles "élitistes" (sic) sont absolument inacceptables. Il s'agit, en fait, d'un processus ayant pour effet un nivellement par le bas, cher à la Présidente de la Communauté française, alors que l'enseignement souffre déjà d'un manque de qualité et que la réalité du monde du travail est en recherche de travailleurs de plus en plus qualifiés.
Lire dans le Soir :
http://actu.skynet.be/index.html?l1=actuality&l2=news&l3=homepage&l4=detail&id=227472&new_lang=fr
Décret inscriptions: la majorité veut assouplir les conditions
lundi, octobre 01, 2007
Pétition: Sauvons la solidarité
http://www.sauvonslasolidarite.be/
Nous sommes Wallons, Bruxellois ou Flamands, nous sommes citoyens du monde. Nous ne voulons pas qu'on érige de nouveaux murs entre des gens, entre des régions et entre des pays. Nous ne voulons pas que le principe de base de solidarité soit remplacé par ceux de concurrence et d'égoïsme. Qui tirera profit de dresser les gens les uns contre les autres ?
Tout ce que nous avons aujourd'hui en Belgique, nous l'avons obtenu ensemble, Flamands, Bruxellois et Wallons. La solidarité entre les citoyens les plus riches et les plus pauvres, ainsi que la solidarité entre les régions plus riches et les plus pauvres sont des piliers de notre société belge.
Nous voulons pour chacun un salaire convenable pour le même travail, indépendamment de la langue que nous parlons. Nous voulons que tous nos concitoyens aient le même droit à des conditions de travail et de vie saines et sécurisées, indépendamment du lieu où se situe l'usine ou le bureau. Nous voulons que tout qui perd son boulot, puisse avoir droit au même soutien et aide, indépendamment de la région où il habite. Nous voulons que chaque enfant ait les mêmes chances, indépendamment de la région de naissance. Nous voulons que toutes les personnes âgées conservent un droit identique à une pension décente, indépendamment du fait qu'elles vivent à Bruxelles, en Flandre ou en Wallonie. Bref, nous voulons la solidarité, pas la scission.
Premiers signataires: Arno, Hugo Claus, Jan Decleir, Luc De Vos, Kim Gevaert, Wim Opbrouck, Axelle Red, Rudy De Leeuw, Luc Cortebeeck, Walter Zinzen,...(lire plus)
Faire suivre svp!
vendredi, septembre 28, 2007
Red De Solidariteit - Onderteken de petitie !
http://www.reddesolidariteit.be/index.php
We zijn Vlaming, Brusselaar of Waal, we zijn Belgen en wereldburgers. We willen niet dat er nieuwe muren worden opgetrokken tussen mensen, tussen regio's en tussen landen. We willen niet dat het solidariteitsbeginsel wordt vervangen door wedijver en egoïsme. Wie wordt er beter van als mensen tegen elkaar worden opgezet?
Alles wat we vandaag in België hebben, is door Vlamingen, Brusselaars en Walen gezamenlijk tot stand gebracht. De solidariteit tussen de rijkere en armere inwoners en de solidariteit tussen rijkere en armere regio's zijn pijlers van onze Belgische samenleving.
We willen voor iedereen een behoorlijk loon voor hetzelfde werk, ongeacht de taal die we spreken. We willen dat alle landgenoten hetzelfde recht hebben op gezonde, veilige leef- en arbeidsomstandigheden; waar onze werkplaats of ons kantoor ook gevestigd is. We willen dat iedereen die zijn job verliest, recht heeft op dezelfde bijstand en hulp, ongeacht de streek waarin we wonen. We willen dat elk kind in het land dezelfde kansen krijgt, ongeacht de regio waarin het is geboren. We willen dat alle ouderen hetzelfde recht op een fatsoenlijk pensioen krijgen, ongeacht of ze in Brussel, Vlaanderen of Wallonië leven. Kortom, we willen solidariteit en geen splitsing.
50 bekende stemmen voor het behoud van de solidariteit :
Arno, zanger, Warre Borgmans, acteur, Olivia Borlée - Kim Gevaert - Hanna Mariën - Elodie Ouedraogo, Belgisch Team 4 x100 meter estafette, Osaka, Hugo Claus, auteur, Alain Clauwaert, voorzitter Algemene Centrale ABVV, Luc Cortebeeck, voorzitter ACV, Guy Cox, Directeur Generaal Collectieve Arbeidsbetrekkingen, Erwin De Deyn, voorzitter BBTK, Georges Debunne, voormalig voorzitter ABVV, Jan Decleir, acteur, Stefaan De Clercq, Algemeen secretaris Oxfam – Solidariteit, Anne Theresa De Keersmaecker, choreografe Rosas, Jos Delbeke, Directeur DG Leefmilieu van de Europese Commissie, Rudy De Leeuw, voorzitter ABVV, Jozef Deleu, dichter, Josse De Pauw, acteur, Luc De Vos, zanger, Gilbert De Swert, voormalig hoofd studiedienst ACV, Joost Dierick, hoofddelegee ACV- metaal Bekaert Zwevegem, Els Dottermans, actrice, Will Ferdy, artiest, Paul Goossens, journalist, Kristien Hemmerechts, auteur, Tom Kestens, zanger Lalalover, Gerard Mortier, directeur Opéra de Paris, Serge Seret & Sven Naessens, Behoud van de Federale Sociale Zekerheid, Jef Neve, pianist, Wim Opbrouck, acteur – muzikant, Willy Peirens, ere-voorzitter ACV, Axl Peleman, zanger, Leen Persijn, zangeres, Rik Pinxten, professor UG, voorzitter Humanistisch Vrijzinnige Verenigingen, Anne Provoost, schrijfster, Axelle Red, zangeres, Herman Selleslags, fotograaf, Sioen, zanger, Maxime Stroobant, professor em. VUB, ex-voorzitter RVA, Guy Swinnen, zanger The Scabs, Guy Tordeur, Verbondssecretaris ACV BHV, Bogdan Vandenberghe, Algemeen secretaris 11.11.11., Wannes Van De Velde, zanger, Geert Van Istendael, auteur – journalist, Paul Van Nevel, Huelgas Ensemble, Xavier Verboven, voormalig algemeen secretaris ABVV, Dimitri Verhulst, auteur, Hendrik Vermeersch, secretaris BBTK BHV, 15decemberbeweging, Johan Verminnen, zanger, Ferre Wyckmans, algemeen secretaris LBC-NVK, Sami Zemni, Professor centrum derde wereld studies, UG, Walter Zinzen, ex – VRT- journalist, Joost Zweegers, Novastar
Libellés :
Red De Solidariteit,
Sauvons La Solidarité
lundi, septembre 24, 2007
Ontslag Rudy Aernoudt - Commentaren
Indien U ook de mening van Rudy Aernoudt deelt, gelieve het antimanifest te ondertekenen http://193.121.103.67/aernoudt/
De Vlaamse regering heeft topambtenaar Rudy Aernoudt op staande voet ontslagen. Enkele meningen op de blog van De Tijd.
http://tijdblogs.typepad.com/redactieblog/2007/09/ontslag-rudy-ae.html
Geplaatst door: Bart 17/09/07 om 21:31
Het ontslag van Rudy Aernoudt is voor mij het beste bewijs dat de meeste vlaamse politici en, ik vrees, de meeste vlaamse burgers niet meer in staat zijn met gezond verstand te redenereren. De druk van het VB en van de verkeerde media informatie zijn gewoon te groot. Op termijn, tenzij een gewenste radicale ommekeer in de manier van denken, betekent dit het einde van de vlaamse vooruitgang!
Geplaatst door: Laurent 18/09/07 om 19:31
Arm Vlaanderen...als een intellectueel man zo wordt ontslagen ...waar gaan wij naartoe ....op het niveau van de Walen nu ....arm Yves Leterme, arm Kris Peeters jullie sturen recht in de hol ....en dat alleen om uw beloftes voor uw kiezers niet te ondermijnen ...arm Vlaanderen zonder toekomst ....er zijn toch andere grotere problemen dan het kleine BHV
Geplaatst door: Jaap 19/09/07 om 00:26
Eindelijk iemand uit de administratie die ons log staatsapparaat durft aan te klagen. We moeten inderdaad dringend bezuinigen op onze overheidbestedingen, ipv steeds nieuwe heffingen toe te passen (cfr. de CD&V). Aernoudt ziet de echte problemen van ons land en onze bedrijven (innovatie en competitiviteit), en niet BHV (who cares!). Resultaat: hij wordt aan de deur gezet, door iemand van de VLD dan nog... Schande!
Geplaatst door: efreddy 19/09/07 om 16:57
Verder: ..."hij mag zijn positie als topambtenaar niet misbruiken om zijn dissidente opinie te ventileren.....Leterme heeft wel bijna 800.000 voorkeurstemmen behaald bij de verkiezingen, Aernoudt tot dusver nog geen enkele". Andermaal: ET ALORS? Waar zit hier in godsnaam de relevantie? Vooreerst dient eens duidelijk te worden uitgelegd waarin de Heer Aernoudt diens positie dan zou wel hebben misbruikt. En wat Leterme betreft: wat zou het dat die man, op basis nota bene van populistisch gekrakeel, 800.000 voorkeurstemmen heeft gehaald? Ik verwijs naar, ik denk dat het de Heer Aernoudts termen zijn, de uitspraak dat er een wereld van verschil ligt tussen een politicus en een staatsman, en of we het nu hebben over België of Vlaanderen: een staatsman is iemand die niet in eerste instantie zijn legitimiteit puurt uit het aantal voorkeurstemmen dat hij/zij heeft gehaald. Ik ben een overtuigd democraat, maar ik geloof terzelfdertijd dat een groot deel van het Vlaams electoraat (en overigens van heel wat electoraten) zich meer laten leiden door een soort "panem et circenses" dan door gezond verstand. Een staatsman moet ons daarvoor behoeden en een Aernoudt moet ons daarvoor wakker houden.
Geplaatst door: Jan 19/09/07 om 09:20
Rudy Aernoudt heeft gelijk.
Vlaanderen haalt de 3% norm niet, helaas.
De Hercules-stichting is overbodig.
Kabinetten moeten afslanken.
Administraties kunnen een stuk efficiënter. Daarvoor zijn ambtenaren met een mening nodig.
Geplaatst door: laurent 20/09/07 om 10:40
Ambtenaren worden niet betaald om aan politiek te doen, niettegenstaande dat mogen zij ook de kanalen gebruiken die ter beschikking staan van elke andere burger van ons land om hun persoonlijke mening te ventileren. Vrijheid van meningsuiting is (was) toch een grondwettelijk recht! Indien we alle energie die sinds jaren in het communautaire gestoken is, zouden gebruikt hebben om België te modernizeren, dan hadden wij nu één land met een efficiëntie om U tegen te zeggen, met een simpele en daadkrachtige structuur en een belang binnen de wereld onevenredig groter dan zijn afmetingen. De samenstelling is altijd groter dan de som van de delen.
De Vlaamse regering heeft topambtenaar Rudy Aernoudt op staande voet ontslagen. Enkele meningen op de blog van De Tijd.
http://tijdblogs.typepad.com/redactieblog/2007/09/ontslag-rudy-ae.html
Geplaatst door: Bart 17/09/07 om 21:31
Het ontslag van Rudy Aernoudt is voor mij het beste bewijs dat de meeste vlaamse politici en, ik vrees, de meeste vlaamse burgers niet meer in staat zijn met gezond verstand te redenereren. De druk van het VB en van de verkeerde media informatie zijn gewoon te groot. Op termijn, tenzij een gewenste radicale ommekeer in de manier van denken, betekent dit het einde van de vlaamse vooruitgang!
Geplaatst door: Laurent 18/09/07 om 19:31
Arm Vlaanderen...als een intellectueel man zo wordt ontslagen ...waar gaan wij naartoe ....op het niveau van de Walen nu ....arm Yves Leterme, arm Kris Peeters jullie sturen recht in de hol ....en dat alleen om uw beloftes voor uw kiezers niet te ondermijnen ...arm Vlaanderen zonder toekomst ....er zijn toch andere grotere problemen dan het kleine BHV
Geplaatst door: Jaap 19/09/07 om 00:26
Eindelijk iemand uit de administratie die ons log staatsapparaat durft aan te klagen. We moeten inderdaad dringend bezuinigen op onze overheidbestedingen, ipv steeds nieuwe heffingen toe te passen (cfr. de CD&V). Aernoudt ziet de echte problemen van ons land en onze bedrijven (innovatie en competitiviteit), en niet BHV (who cares!). Resultaat: hij wordt aan de deur gezet, door iemand van de VLD dan nog... Schande!
Geplaatst door: efreddy 19/09/07 om 16:57
Verder: ..."hij mag zijn positie als topambtenaar niet misbruiken om zijn dissidente opinie te ventileren.....Leterme heeft wel bijna 800.000 voorkeurstemmen behaald bij de verkiezingen, Aernoudt tot dusver nog geen enkele". Andermaal: ET ALORS? Waar zit hier in godsnaam de relevantie? Vooreerst dient eens duidelijk te worden uitgelegd waarin de Heer Aernoudt diens positie dan zou wel hebben misbruikt. En wat Leterme betreft: wat zou het dat die man, op basis nota bene van populistisch gekrakeel, 800.000 voorkeurstemmen heeft gehaald? Ik verwijs naar, ik denk dat het de Heer Aernoudts termen zijn, de uitspraak dat er een wereld van verschil ligt tussen een politicus en een staatsman, en of we het nu hebben over België of Vlaanderen: een staatsman is iemand die niet in eerste instantie zijn legitimiteit puurt uit het aantal voorkeurstemmen dat hij/zij heeft gehaald. Ik ben een overtuigd democraat, maar ik geloof terzelfdertijd dat een groot deel van het Vlaams electoraat (en overigens van heel wat electoraten) zich meer laten leiden door een soort "panem et circenses" dan door gezond verstand. Een staatsman moet ons daarvoor behoeden en een Aernoudt moet ons daarvoor wakker houden.
Geplaatst door: Jan 19/09/07 om 09:20
Rudy Aernoudt heeft gelijk.
Vlaanderen haalt de 3% norm niet, helaas.
De Hercules-stichting is overbodig.
Kabinetten moeten afslanken.
Administraties kunnen een stuk efficiënter. Daarvoor zijn ambtenaren met een mening nodig.
Geplaatst door: laurent 20/09/07 om 10:40
Ambtenaren worden niet betaald om aan politiek te doen, niettegenstaande dat mogen zij ook de kanalen gebruiken die ter beschikking staan van elke andere burger van ons land om hun persoonlijke mening te ventileren. Vrijheid van meningsuiting is (was) toch een grondwettelijk recht! Indien we alle energie die sinds jaren in het communautaire gestoken is, zouden gebruikt hebben om België te modernizeren, dan hadden wij nu één land met een efficiëntie om U tegen te zeggen, met een simpele en daadkrachtige structuur en een belang binnen de wereld onevenredig groter dan zijn afmetingen. De samenstelling is altijd groter dan de som van de delen.
lundi, septembre 17, 2007
Rudy Aernoudt licencié ! Aan de deur !
Le courage politique, cela se paye toujours cash !
Mais c'est grâce à ces hommes qui ont un sens certain du devoir, qui préfèrent la transparence à la langue de bois, qui recherchent le bien commun et non l'intérêt personnel, qui osent dénoncer les idées reçues ou les méfaits de la politisation, que la démocratie peut progresser, que certaines vérités peuvent apparaître au grand jour, que l'Etat de droit gagne du crédit auprès des citoyens.
C'est de la trempe de telles personnalités, de leurs qualités tant professionnelles qu'humaines dont a réellement besoin notre pays ! Ils ne s'y sont pas trompés ceux qui ont pris l'initiative de le proposer Premier ministre, via une pétition bien sympathique venue du Nord et soutenue par des citoyens en provenance de toutes les régions, au-delà de toute frontière linguistique (Voir message précédent) .
Monsieur Aernoudt, vous recherchez de véritables hommes d'Etat, mais vous en êtes un. Toujours à la recherche de solutions plutôt qu'à l'arrêt devant des obstacles.
Si les habitants de ce pays en avaient le pouvoir, ils vous nommeraient Ombudsman, non auprès du Gouvernement, mais auprès des citoyens !
De grâce, continuez de vous exprimer, de prendre la parole et d'écrire. Vos livres méritent l'intérêt qu'ils suscitent ! Puissent-ils faire se lever une nouvelle génération d'hommes et de femmes politiques, ainsi que des fonctionnaires ayant ce sens de l'Etat.
Indien U ook de mening van Rudy Aernoudt deelt, gelieve het antimanifest te ondertekenen http://193.121.103.67/aernoudt/
Si vous partagez aussi l'opinion de Rudy Aernoudt , veuillez signer l'antimanifest http://193.121.103.67/aernoudt/
Lire :
http://www.lesoir.be/actualite/belgique/rudy-aernoudt-licencie-2007-09-16-549804.shtml
http://www.lesoir.be/actualite/belgique/l-invite-du-lundi-rudy-2007-09-16-549829.shtml
http://www.lalibre.be/article.phtml?id=10&subid=90&art_id=370998
Lezen :
http://www.standaard.be/Artikel/Detail.aspx?artikelid=DMF16092007_031
http://www.standaard.be/Artikel/Detail.aspx?artikelId=DMF16092007_046
Mais c'est grâce à ces hommes qui ont un sens certain du devoir, qui préfèrent la transparence à la langue de bois, qui recherchent le bien commun et non l'intérêt personnel, qui osent dénoncer les idées reçues ou les méfaits de la politisation, que la démocratie peut progresser, que certaines vérités peuvent apparaître au grand jour, que l'Etat de droit gagne du crédit auprès des citoyens.
C'est de la trempe de telles personnalités, de leurs qualités tant professionnelles qu'humaines dont a réellement besoin notre pays ! Ils ne s'y sont pas trompés ceux qui ont pris l'initiative de le proposer Premier ministre, via une pétition bien sympathique venue du Nord et soutenue par des citoyens en provenance de toutes les régions, au-delà de toute frontière linguistique (Voir message précédent) .
Monsieur Aernoudt, vous recherchez de véritables hommes d'Etat, mais vous en êtes un. Toujours à la recherche de solutions plutôt qu'à l'arrêt devant des obstacles.
Si les habitants de ce pays en avaient le pouvoir, ils vous nommeraient Ombudsman, non auprès du Gouvernement, mais auprès des citoyens !
De grâce, continuez de vous exprimer, de prendre la parole et d'écrire. Vos livres méritent l'intérêt qu'ils suscitent ! Puissent-ils faire se lever une nouvelle génération d'hommes et de femmes politiques, ainsi que des fonctionnaires ayant ce sens de l'Etat.
Indien U ook de mening van Rudy Aernoudt deelt, gelieve het antimanifest te ondertekenen http://193.121.103.67/aernoudt/
Si vous partagez aussi l'opinion de Rudy Aernoudt , veuillez signer l'antimanifest http://193.121.103.67/aernoudt/
Lire :
http://www.lesoir.be/actualite/belgique/rudy-aernoudt-licencie-2007-09-16-549804.shtml
http://www.lesoir.be/actualite/belgique/l-invite-du-lundi-rudy-2007-09-16-549829.shtml
http://www.lalibre.be/article.phtml?id=10&subid=90&art_id=370998
Lezen :
http://www.standaard.be/Artikel/Detail.aspx?artikelid=DMF16092007_031
http://www.standaard.be/Artikel/Detail.aspx?artikelId=DMF16092007_046
vendredi, septembre 14, 2007
Une circonscription fédérale pour le Parlement fédéral
Le Groupe Pavia propose que 15 des 150 membres de la Chambre des représentants soient élus dans une circonscription fédérale.
De Paviagroep stelt voor dat 15 van de 150 leden van de federale Kamer van Volksvertegenwoordigers verkozen worden in een federale kieskring.
Voici une idée qui fait son chemin auprès de plus en plus d'acteurs dans le monde politique et médiatique.
Loin de vouloir remettre en selle un Etat unitaire, mais tenant compte de la réalité d'un Etat fédéral, avec un objectif de plus grande efficacité et légitimité électorale.
Le CDF-FCD défend d'ailleurs aussi une telle idée de circonscription fédérale : voir www.cdf-info.be
A lire et diffuser ... dans les deux langues ! Te lezen en laten kennen, in de twee talen !
jeudi, septembre 13, 2007
Rudy Aernoudt Premier !
TEKEN DE PETITIE ! SIGNEZ LA PETITION !
http://www.rudy-aernoudt-premier.be/index.php
Vite, il nous faut d'urgence 1.000.000 de signatures si nous ne voulons pas être pris en otages par une minorité de séparatistes !Rudy Aernoudt, Secrétaire général du département flamand Economie Science et Innovation, auteur du livre «Vlaanderen Wallonie, je t'aime moi non plus» nous paraît être le meilleur Premier Ministre
Vlug, we hebben dringend 1.000.000 handtekeningen nodig, indien we niet de gijzelaars willen zijn van een minderheid separatisten !Rudy Aernoudt, Secretaris-generaal van het Vlaamse departement Economie, Wetenschap en innovatie, auteur van het boek «Vlaanderen-Wallonie, je t'aime moi non plus» lijkt ons de ideale Premier te zijn.
Een petitie die komt van Vlaanderen - Une pétition qui vient de Flandre !
Rudy Aernoudt était présent à la dernière AG du CDF (Chrétiens Démocrates Fédéraux).
Rudy Aernoudt was tegenwoordig bij de laatste AV van FCD (Federale Christen Democraten).
Indien U ook de mening van Rudy Aernoudt deelt, gelieve het antimanifest te ondertekenen http://193.121.103.67/aernoudt/
Si vous partagez aussi l'opinion de Rudy Aernoudt , veuillez signer l'antimanifest http://193.121.103.67/aernoudt/
http://www.rudy-aernoudt-premier.be/index.php
Vite, il nous faut d'urgence 1.000.000 de signatures si nous ne voulons pas être pris en otages par une minorité de séparatistes !Rudy Aernoudt, Secrétaire général du département flamand Economie Science et Innovation, auteur du livre «Vlaanderen Wallonie, je t'aime moi non plus» nous paraît être le meilleur Premier Ministre
Vlug, we hebben dringend 1.000.000 handtekeningen nodig, indien we niet de gijzelaars willen zijn van een minderheid separatisten !Rudy Aernoudt, Secretaris-generaal van het Vlaamse departement Economie, Wetenschap en innovatie, auteur van het boek «Vlaanderen-Wallonie, je t'aime moi non plus» lijkt ons de ideale Premier te zijn.
Een petitie die komt van Vlaanderen - Une pétition qui vient de Flandre !
Rudy Aernoudt était présent à la dernière AG du CDF (Chrétiens Démocrates Fédéraux).
Rudy Aernoudt was tegenwoordig bij de laatste AV van FCD (Federale Christen Democraten).
Indien U ook de mening van Rudy Aernoudt deelt, gelieve het antimanifest te ondertekenen http://193.121.103.67/aernoudt/
Si vous partagez aussi l'opinion de Rudy Aernoudt , veuillez signer l'antimanifest http://193.121.103.67/aernoudt/
mercredi, septembre 12, 2007
Incongrue, Mr Leterme ! Décidément !
Grande sagesse au Parlement flamand.
Sans doute pas encore mûr pour être le « rassembleur » (prochain titre après l’explorateur) autour d’un projet gouvernemental unissant Flamands et francophones.
Proposition indigne et déplacée, celle d’offrir davantage de moyens financiers pour les bâtiments scolaires de la Communauté Française en échange de davantage de confédéralisme !
Je pense, Monsieur Leterme, que vous n’avez pas encore compris. Le respect du droit élémentaire des gens ne s’achète pas comme une vulgaire parcelle de terrain, fut-elle située en bordure d’une frontière trop vite tracée à l’époque.
Si l’on pouvait vous donner un petit conseil, Monsieur le futur …(?), entourez-vous des soins d’un conseiller en communication, afin de ne pas blesser davantage celles et ceux qui accepteraient de s’assoire un jour à la même table.
Dommage, alors que l’on percevait ces derniers jours une atmosphère plus sereine et une certaine retenue de part et d’autre, favorisée par le travail discret d’un explorateur talentueux.
Nous osons cependant encore espérer en la sagesse de quelques hommes et femmes d’Etat soucieux du bien de tous les citoyens et respectueux des diverses sensibilités pour aboutir à un projet commun. De cette sagesse admirable dont a fait preuve en ce début de semaine la grande majorité du Parlement flamand, rejetant dans les cordes les propositions du Vlaams Belang.
Sans doute pas encore mûr pour être le « rassembleur » (prochain titre après l’explorateur) autour d’un projet gouvernemental unissant Flamands et francophones.
Proposition indigne et déplacée, celle d’offrir davantage de moyens financiers pour les bâtiments scolaires de la Communauté Française en échange de davantage de confédéralisme !
Je pense, Monsieur Leterme, que vous n’avez pas encore compris. Le respect du droit élémentaire des gens ne s’achète pas comme une vulgaire parcelle de terrain, fut-elle située en bordure d’une frontière trop vite tracée à l’époque.
Si l’on pouvait vous donner un petit conseil, Monsieur le futur …(?), entourez-vous des soins d’un conseiller en communication, afin de ne pas blesser davantage celles et ceux qui accepteraient de s’assoire un jour à la même table.
Dommage, alors que l’on percevait ces derniers jours une atmosphère plus sereine et une certaine retenue de part et d’autre, favorisée par le travail discret d’un explorateur talentueux.
Nous osons cependant encore espérer en la sagesse de quelques hommes et femmes d’Etat soucieux du bien de tous les citoyens et respectueux des diverses sensibilités pour aboutir à un projet commun. De cette sagesse admirable dont a fait preuve en ce début de semaine la grande majorité du Parlement flamand, rejetant dans les cordes les propositions du Vlaams Belang.
lundi, septembre 10, 2007
LETTRE OUVERTE A MONSIEUR LETERME
Un ton auquel on n'est pas obligé de souscrire, mais qui rappelle quelques réalités historiques bonnes à savoir, loin des clichés méprisants et de certaines contre-vérités.
Une lettre adressée à un homme représentant une certaine classe politique, pas la population flamande, qui mérite tellement mieux que des politiciens et des éditorialistes jouant la carte d'un nationalisme irresponsable.
Pierre-Alexandre de Maere d'Aertrycke
LETTRE OUVERTE A MONSIEUR LETERME
Ainsi donc, monsieur Leterme, vous n’avez, une nouvelle fois, pu cacher la haine méprisante que vous ressentez à l’égard de vos voisins francophones. Je n’ose dire compatriote car pour vous la Belgique n’est qu’une poubelle de l’Histoire abandonnée sur le trottoir de la Flandre. Cela fait longtemps, trop sans doute, que les francophones acceptent d’écouter les propos injurieux et mensongers des flamingants. Il ne faut pas exciter davantage les bêtes furieuses, mais trop de patience peut nuire à une solution équilibrée. Il est donc temps de répondre de manière pondérée mais ferme à votre discours fondé sur une vision faussée et mensongère de la Belgique et de ses habitants.
La Terre promise
Le Vlaamse grond représente le fondement idéologique du flamingantisme. Ceux de votre bord croient dur comme fer que la région occupée par la population flamande est un sanctuaire qui lui appartient depuis toujours et pour l’éternité. C’est oublier, un peu vite, que les populations actuelles de l’Europe du Nord proviennent des multiples invasions provenant d’Asie. Les peuplades germaniques, auxquelles appartient la population flamande, sont arrivées de l’est après les ancêtres des wallons et l’invasion a été stoppée à la frontière des forêts de l’époque, qui est, à peu de choses près, la frontière linguistique d’aujourd’hui. Ne me dites pas que cela n’est pas vrai. Un flamingant m’a dit récemment que nous avions eu la chance d’avoir des forêts pour nous protéger…L’esprit de conquête et de domination du peuple flamand n’est donc, semble t-il, pas une nouveauté.
Bref, la tribu germanique flamande est arrivée un peu tard et s’est emparée d’un territoire qui ne lui appartenait pas pour s’y installer et le considérer ensuite comme sa terre promise, son sanctuaire inviolable. Cette appartenance quasi mystique d’une terre éternellement réservée à l’homo flamandicus est donc une première déformation de l’Histoire.
La Belgique de Jules César
Les braves peuplades qui vivaient dans la partie septentrionale de la Gaule avaient, sans doute fini par s’entendre et devaient présenter suffisamment de traits communs pour que Jules César n’hésite pas à les appeler collectivement « Belgae ». Si pour vous, Monsieur Leterme, la Belgique est un accident de l’Histoire, ce fut alors un très ancien accident. Une chose me rassure cependant. Dans sa fameuse chronique « de bello galico » Jules César ne dit-il pas à propos des gaulois que « de tous, les belges sont les plus braves ». En réalité, les manuels ont extirpé la fin de la phrase qui se terminait par « mais sont aussi les plus bêtes ».En d’autres termes flamands et wallons étaient aussi stupides l’un que l’autre. Voilà une égalité qui ne doit pas vous faire plaisir, Monsieur Leterme, pas plus que l’existence lointaine d’une Belgique que vous semblez ignorer..
Jerusalem
De nombreux nobles flamands ont participé aux croisades et je ne doute pas qu’ils y ont fait preuve de hardiesse et de bravoure. Pas de chance, Monsieur Leterme, c’est un chevalier né à Baisy-Thy, un wallon donc, qui eut l’honneur de prendre la ville de Jerusalem en 1099. Plus personne d’autre ne réussit cet exploit une seconde fois. Vous le connaissez peut être. Allez, je vous mets sur la piste, il a hérité de terres dans les ardennes et y a bâti un remarquable château fort. Vous y êtes ! C’est bien de Godefroy (orthographe exacte) de Bouillon qu’il s’agit. Comme quoi certains wallons peuvent parfois se montrer courageux et téméraires. Au fait, savez vous quels étaient ses « chefs d’état major » ? Beaudouin II de Hainaut et …Robert II de Flandre. Vous ne vous souveniez pas ? Décidément, vous avez la mémoire sélective, Monsieur Leterme.
La bataille des éperons d’or
Ce haut fait d’armes est la victoire symbolique pour les flamingants de la supériorité des courageux vassaux flamands contre leur détesté suzerain, le roi de France. Voilà encore une présentation pour le moins déformée de l’Histoire car la bataille des éperons d’or n’opposait pas la Flandre à la France mais bien la Belgique à la France. Mais oui, vous ne rêvez pas, Monsieur Leterme, le comte de Namur et le Duc du Luxembourg ont participé avec leurs troupes à la bataille et certains historiens prétendent même que le comte de Namur était le commandant en chef des coalisés. Vous n’y croyez pas ? que soit…Vous ignorez, sans doute aussi, que deux années plus tard une seconde bataille eut lieu à Mons-en-Pévèle opposant une nouvelle fois la France à la Flandre aidée par les seuls namurois. L’issue de la bataille fut cette fois à l’avantage des français. N’ayez crainte, les manuels d’Histoire flamands n’en font jamais état, car l’histoire a été entièrement revisitée par les nationalistes flamingants. Comme nous allons le voir, ce n’est pas la seule falsification, loin s’en faut !
Les multiples occupations
Les troupes étrangères ont défilé pendant des siècles dans nos belles régions et, flamands comme wallons, ont été dominés par de multiples nations étrangères. Nous avons été français, espagnol, germanique autrichien, français à nouveau et finalement hollandais. Bien sur, il y eut quelques particularités intéressantes à signaler. Le premier roi de France fut un franc de nos ancêtres, un certain Clovis natif de Tournai. Cette ville, à l’histoire aussi riche que Bruges, fut aussi un certain temps sous domination anglaise. La principauté de Liège eut aussi une histoire différenciée des autres provinces belges. Je rappelerai que des villes flamandes comme Tongres ou Saint Trond firent partie, et de bon gré, de la principauté liégeoise. Une nouvelle preuve que les populations flamande et wallonne pouvaient vivre ensemble sans heurt et dans le respect réciproque. D’ailleurs, ces deux populations se retrouvèrent ensemble dans les provinces unies catholiques séparées des Pays-Bas réformistes. Que de parcours communs, vous ne trouvez pas, Monsieur Leterme ?
La dernière domination, celle du Prince d’Orange Nassau, ne fut pas au goût des belges. L’économie belge devenait vassale des hollandais et les anversois n’appréciaient pas particulièrement l’étouffement de leur port au bénéfice d’Amsterdam et surtout de Rotterdam.
L’indépendance de la Belgique
Le soulèvement de la population belge en 1830 ne fut donc pas, comme vous souhaitez nous le faire croire, un accident de l’Histoire. Bien au contraire, le mouvement indépendantiste toucha toute la population belge qui incluait le Grand Duché du Luxembourg actuel. Si ce mouvement naquit à Bruxelles et fut surtout soutenu par liège, il reçut l’approbation des autres régions dont aucune ne se rangea aux côtés des bataves.
Le choix de la langue nationale
Le choix d’une langue nationale s’imposait alors pour asseoir les structures administratives du jeune Etat. N’oublions pas que la conception de la gestion de l’Etat était forcément centralisatrice à cette époque. La décision fut prise par le premier parlement du royaume. Je vous entends déjà, Monsieur Leterme, rager contre le caractère purement francophone de ce parlement. Nouvelle falsification scandaleuse de la vérité historique ! Bien entendu, ce parlement était francophone pour la simple raison que nous étions à l’époque du vote censitaire et que donc seules la noblesse et la bourgeoisie avaient accès au pouvoir. Il se fait qu’à cette époque, les deux parlaient exclusivement français, la langue diplomatique européenne de l’époque. . Rappelez vous, Monsieur Leterme, nous sommes en 1830. D’ailleurs les devises de pays non latins étaient parfois exprimées en français. Avez-vous connaissance, Monsieur Leterme, du « Je maintiendrai » hollandais et du « Honni soit qui mal y pense » anglais ?
Autre précision, la participation flamande au premier parlement belge équivalait à celle des bruxellois et wallons, mais elle n’est pas apparente pour les flamingants puisque les parlementaires flamands, bourgeois et nobles, étaient francophones. Les manuels d’Histoire flamands travestissent donc totalement l’Histoire en faisant croire que le français fut imposé aux flamands par les ancêtres des francophones actuels. C’est, en réalité, l’ensemble de la classe dominante qui choisit à l’époque la langue française sans que cela ne suscite de débats passionnés. Et pour cause car, dans le contexte de l’époque, ce choix était simplement logique. Comme je l’ai dit, le français était à l’époque la langue des classes dominantes non seulement en Belgique mais sur l’ensemble de l’Europe. On parlait même français à la cour de Russie. D’autre part, les classes inférieures ne parlaient, en Belgique, qu’une multitude de dialectes locaux. Il n’y avait à l’époque pas plus de langue flamande que de langue wallonne. La langue flamande fut unifiée bien plus tard sous le sigle ABN après des décennies d’effort. Ne vous en déplaise, Monsieur Leterme, il n’y eut pas de véritable choix, et le français ne fut pas imposé par la population wallonne à la population flamande mais bien par les classes supérieures aux classes inférieures, au sud comme au nord du pays.
La période industrielle
Au moment de l’indépendance, l’industrie wallonne était en plein développement grâce aux charbonnages et à la sidérurgie qui généraient à leur tour de multiples ateliers mécaniques. Ce fut une époque de gloire pour la Belgique qui devint la seconde puissance industrielle du monde. C’est l’époque où l’arlonais Lenoir inventait le moteur à explosion tandis que le liégeois Gramme inventait la dynamo. Deux inventions majeures pour l’avenir, vous en conviendrez Monsieur Leterme, provenant de wallons paresseux et imbéciles. C’est à cette époque aussi que les wallons allèrent initier les suédois à la sidérurgie. Si vous vous promenez à Stockholm, peut être flânerez vous, sans le savoir, dans la rue des wallons. Le savoir-faire wallon fut exporté au Moyen Orient, en Chine, en Russie qui s’équipèrent de centrales électriques et de tramways conçus et réalisés chez nous. Ceci ne fut possible que parce que la Belgique existait car nombreux furent les travailleurs flamands qui vinrent en Wallonie pour participer à cet essor extraordinaire. La qualité de leur travail et leur apport à l’économie belge sont reconnues sans conteste.
Bien entendu, me direz vous, tout cela était finalement au profit exclusif des francophones. Nouvelle ignorance des réalités ! Le premier chemin de fer belge – qui était aussi le premier sur le continent – fut crée sur la ligne Bruxelles-Malines, en Flandre donc. Le canal Albert, travail gigantesque compte tenu des moyens de l’époque, fut réalisé pour exporter l’acier wallon via le port d’Anvers plutôt que le port de Rotterdam pourtant facilement accessible. Savez vous que, lors de la négociation avec les hollandais au moment de l’indépendance, pour obtenir la libre circulation sur l’Escaut pour le port d’Anvers, la Belgique s’est engagée à fournir actuellement un quota d’eau potable aux Pays-Bas ? Ignorez vous que cette eau provenait et provient toujours (car l’engagement est encore respecté aujourd’hui) de Wallonie ? Des industriels wallons ont initié l’exploitation des mines du Limbourg, Acec a ouvert une succursale à Gand, la fabrication ferroviaire a été développée à Bruges, Sidmar a été créé pour donner à la Flandre une industrie sidérurgique. La côte belge n’était à la fin du 19 ème siècle qu’une suite de petits villages de pêcheurs. Ce sont essentiellement des francophones qui ont développé les cités balnéaires de la Vlaamse kust. Le rayonnement économique de la Belgique allait permettre à Ostende de devenir « la reine des plages » comme Spa devenait la ville thermale à la mode. La ville flamande de Louvain, héritière d’un brillant passé, connut, pour la même raison, un nouveau développement avec la notoriété internationale d’une université au développement de laquelle les francophones participèrent plus qu’activement. Peut être avez-vous entendu parler du chanoine Lemaître, le concepteur de la théorie du big bang ? Il n’y a pas à dire, nous n’avons jamais manqué pas d’imbéciles en Wallonie.
Le développement industriel et culturel fut bien partagé durant cette période de gloire internationale et il serait scandaleux de prétendre que la prospérité de l’époque fut au bénéfice exclusif de la Wallonie. La Flandre fut, sans aucun doute possible, largement bénéficiaire de l’indépendance de la Belgique.
La révolution sociale
L’essor économique de la Belgique ne se faisait pas par clivage Nord-Sud mais bien par clivage de classes sociales. Le travail dur et souvent inhumain dans les industries lourdes situées en Wallonie allait générer la naissance du socialisme. Les ouvriers demandaient, à juste titre, un meilleur partage des richesses revenant jusqu’alors exclusivement à la bourgeoisie. Comme les dialectes wallons étaient plus proches du français que les dialectes flamands, les classes laborieuses eurent plus facile dans le sud à comprendre et parler un français, même approximatif, que les travailleurs du nord du pays. L’opposition se marqua donc, en Wallonie, par un socialisme politique basé sur la lutte des classes ou, si vous préférez, sur l’opposition patron-ouvrier.
Cette révolution sociale se développa également en Flandre. Un socialisme assez proche de celui de Wallonie se retrouvait dans le Limbourg minier tandis qu’un socialisme linguistique se manifestait partout ailleurs. Pourquoi ? Tout simplement, Monsieur Leterme, parce que la classe possédante flamande parlait français tandis que la classe dominée parlait l’un ou l’autre des dialectes flamands. Le français devint donc le symbole de l’ennemi dominateur et le clergé flamand, qui souhaitait logiquement l’émancipation du petit peuple industrieux, devint ainsi le fer de lance du socialisme linguistique à la base du flamingantisme. Le clergé, mieux éduqué que le peuple s’appuya sur la vieille lutte du comte de Flandre contre le roi de France pour donner à cette lutte une justification historique. Le clergé fut aussi à la base de la fondation de l’ABN qui allait permettre la création d’une véritable langue flamande. La bourgeoisie flamande se mit progressivement à parler flamand et pour garder son pouvoir vis-à-vis de la masse vindicative prétendit, c’est de bonne guerre, qu’elle avait été forcée à parler français depuis l’indépendance. Cette explication fallacieuse allait aviver le flamingantisme et créer les bases du problème communautaire belge. Pourtant, il y avait eu large interpénétration entre les deux communautés. A preuve les multiples Dewael ou autres Dewaal au nord du pays et les innombrables Flamand, Flament ou De Vlaminck résidant aujourd’hui dans le sud du pays. Il est d’ailleurs piquant de constater que les ministres les plus flamingants aujourd’hui s’appellent Anciaux, Dewael ou…Leterme. De notre côté nous avons une multitude de politiciens d’origine flamande comme Cools, Spitaels, Vanderbist, Van Cauwenberghe, Despiegeleer, Daerden ou autre Onckelinckx. Comme vous le voyez, Monsieur Leterme, la Belgiqueque vous vous acharnez à détruire est bel et bien une réalité.
L’influence allemande
Peu d’historiens ont étudié l’influence allemande sur le problème communautaire belge. Elle ne fut pourtant pas négligeable, loin de là. On a beaucoup parlé d’ordres donnés en français et incompréhensibles pour le soldat flamand lors de la bataille de l’yser, mais il y a, en réalité, très peu de faits concrets vérifiés. Il faut dire que les ordres militaires dans une tranchée ne peuvent être d’une variété et donc d’une complexité extrême. Les services allemands avaient tout intérêt, à cette époque, à répandre de telles rumeurs visant à diviser l’armée d’en face. En jetant le discrédit sur des officiers parlant français, on avait la possibilité de décapiter l’armée belge et de récupérer la sympathie de soldats appartenant à la famille germanique. Une telle volonté de subversion est bien compréhensible en période de guerre. Aucune enquête sérieuse n’a jamais été faite sur le sujet.
Durant la seconde guerre mondiale, vos amis nazis ont déporté en masse les prisonniers belges. Les ressortissants flamands furent rapidement libérés tandis que les wallons devaient rester en Allemagne. Cette différenciation marquait clairement la volonté des services allemands de diviser la Belgique. On peut s’étonner qu’aucune voix ne s’est élevée en Flandre pour s’émouvoir du sort des compatriotes francophones…
Une religion de l’insulte
Comme vous, Monsieur Leterme, j’ai usé mes culottes sur les bancs de l’école catholique. Même si je n’en ai pas conservé une foi vibrante comme la vôtre, les braves prêtres et petits frères de l’époque m’ont fait découvrir les valeurs de l’humanisme, du respect des autres, de la charité. Visiblement, l’enseignement catholique était quelque peu différent au nord du pays. J’ai pu observer, à l’époque, les scouts flamands, dont la couleur de chemise évoquait de mauvais souvenirs, défiler en chantant AVV-VVK. Tout pour la Flandre (donc rien pour les autres) et la Flandre pour le Christ. Un rien intégriste avec un zeste d’égoïsme bien marqué. Cela rappelait quelque peu un certain « Gott mit uns » de mauvaise mémoire…
Nous avons eu droit aussi aux « Mars op Brussel », la Flandre réclamant une part de gâteau toujours plus grande. Cela confirme, en tout cas, que, depuis l’indépendance jusqu’au début des années 1960, le transfert financier fut plutôt dans le sens Sud – Nord. Ces manifestations orchestrées par un parti catholique rabique étaient agressives et franchement anti-francophones. Ceux qui ont vécu cela se souviennent de la présence d’un militant bien connu à ces marches de santé. Il s’appelait Maertens, Wilfried de son prénom, et fut plus tard plébiscité par les wallons (vous avez raison, nous pouvons être très bêtes) comme premier ministre ! Il ne fallut pas attendre longtemps pour entendre « Walen buiten » à la très catholique université de Leuven. Ce rejet de l’autre était d’autant plus scandaleux que celui-ci avait largement contribué à renforcer le rayonnement international de cette vénérable institution.
Mais le pire était encore à venir. Des associations flamandes comme le TAK ou le VMO (organisation paramilitaire s’il en est) créèrent des troubles un peu partout. Plaques indicatrices barbouillées, voitures françaises taguées à la côte belge, pardon la Vlaamse kust, n’étaient que le reflet « amusant » des brutalités perpétrées par ces voyoux dans cetains villages. Les insultes volaient : « Fransquiljoenen, waalse ratten ... »enzovoort Ces chemises brunes participèrent aussi à l’annexion des Sudètes, je veux dire les Fourons. Ces villages d’origine totalement wallons avaient attiré de nombreux résidents hollandais, ce qui permit aux flamands de les considérer comme appartenant au Vlaamse grond. Pas question de se souvenir dans ce cas de l’historique de cette région. Tout l’inverse de la dialectique flamingante à Bruxelles…Personnellement, Monsieur Leterme, j’aurais admis volontiers que ces villages soient à facilités avec un maximum de respect et de tolérance, le nombre de résidents des deux langues étant d’ailleurs à peu près à parité. Oui, je sais, vous n’acceptez pas une telle tolérance à des endroits où des francophones sont en large majorité. L’amour du prochain que vous a dicté votre foi catholique, sans doute.
Le CVP s’est emparé du pouvoir et le poste de premier ministre fut littéralement séquestré par ce parti compréhensif et généreux. Les affaires économiques furent aussi réservées à des ministres flamands. Ainsi, les représentations ou missions à l’étranger furent essentiellement au bénéfice de la Flandre. Les investissements en infrastructures furent aussi largement profitables à Moeder Vlaanderen : autoroutes, aménagement des ports d’Anvers et de Zeebrugge, création de zonings avec incitants pour les investissements étrangers, partout la priorité était au nord du pays. Jamais dans le monde, je n’ai pu observer une telle disparité entre deux communautés. La main mise sur le pouvoir politique et administratif était d’autant moins justifiée que la proportion 57/43% devait normalement s’accommoder d’un partage plus équitable. Mais tout était justifié par la fable de la revanche contre les vilains francophones qui avaient imposé leur langue aux gentils flamands et qui d’ailleurs ne voulaient toujours pas se mettre à la langue de Vondel.
Parler flamand ?
Nous touchons là au leitmotiv des flamingants : les francophones refusent de parler leur langue. Traduisons : un million de francophones de Bruxelles et de la périphérie ne veulent pas perdre leur identité et se laisser absorber par la notion flamande. Je vous concède que ceci doit vous agacer, Monsieur Leterme. Quel surcroît de puissance n’aurait pas la Flandre si elle pouvait se rendre maître de la capitale de l’Europe ?
Eh, bien, Monsieur Leterme, je ne me débrouille pas mal dans votre langue mais j’avoue ne pas avoir envie de la parler. Aimeriez vous parler la langue d’une nation dont l’attitude est agressive et insultante à votre égard depuis des décennies ? Et puis à quoi bon ? Malgré la promotion de l’ABN les dialectes restent très vivaces. Il m’arrive toujours d’obtenir des réponses en dialecte lorsque, par respect et par politesse, je fais l’effort de parler Néerlandais en Flandre. J’ajouterai que la réponse est parfois donnée avec un petit sourire narquois pour me faire comprendre que je suis un étranger à la race flamande. Je ne suis toujours pas capable de comprendre deux limbourgeois ou deux westhoekers parlant ensemble. Chose rassurante, un westhoeker ne comprendra pas mieux que moi le limbourgeois. Vous pensez évidemment que j’exagère. Et pourtant, lorsque je dirigeais un département au sein d’une multinationale, j’ai souhaité traduire une série de documents dans les différentes langues des pays dont j’avais la charge. Tout s’est très bien passé, sauf en néerlandais car je n’ai jamais pu mettre d’accord la clientèle flamande et néerlandaise sur des textes communs. Les corrections de plusieurs flamands divergeaient même entre elles. J’ai donc pris la sage décision de continuer la distribution de textes en Anglais pour les Pays-Bas et la Flandre. Par chance, les textes dans la langue de Voltaire furent agréés aussi bien par les français que les wallons. Aucun de ces derniers n’exigea des connotations de Liège, de Charleroi ou d’Houtsiploux.
Désolé, Monsieur Leterme, mais vous comprendrez que votre langue manque d’attrait, en grande partie à cause du comportement même des flamands.
Le refus de toute objectivité
Excédé par la hargne et le non respect de certaines libertés, les francophones ont demandé un examen neutre et objectif d’une instance extérieure. Une envoyée de l’Union européenne vint examiner la situation et conclut à l’excellent traitement de la minorité flamande à Bruxelles et au mauvais traitement des libertés dans la périphérie de la capitale. Cet avis émanait pourtant d’une femme respectable dont l’objectivité aux yeux des flamands semblait garantie par sa provenance ethnique. Cette dame respectable était pourtant d’origine germanique.
Le rapport de l’experte de l’Union européenne ne plut évidemment pas aux ayatollahs flamingants et fut donc jeté aux ordures. Avec raison, car la réaction francophone fut tellement faible qu’elle en fut ridicule. C’est vrai, Monsieur Leterme, à force d’être conciliants, nos représentants sont souvent de grands imbéciles. Ce qui est réconfortant c’est que vous ne manquez pas d’être cons également. La repeinture des poteaux de signalisation en jaune et noir est un signe de votre obsession nationaliste qui ne manque pas de ridicule.
National socialisme et front populaire
Une analyse lucide de la situation permet de résumer le problème actuel de la vie communautaire en Belgique.
Le socialisme linguistique de la Flandre a tourné à l’obsession, orientée habilement par la bourgeoisie flamande contre les francophones de Bruxelles et de Wallonie. Cette prise de position a été exacerbée par les activistes de certains milieux politiques et confessionnels. Le milieu catholique flamand a engendré la haine et le mépris et a provoqué l’éclosion d’un national socialisme flamand, mieux connu sous le vocable de flamingantisme.
Comme Hitler, votre politique est essentiellement basée sur la haine, le mépris et l’insulte alimentée par une excuse de revanche, supposée juste et nécessaire. Comme Hitler, vous cultivez la religion de l’Ubermensch et de l’Untermensch. Comme Hitler, seule la prospérité de votre nation compte, fut ce au détriment des autres. Comme Hitler vous multipliez les mensonges et reniez vos paroles le lendemain d’un accord conclu. Comme Hitler, vous pratiquez la politique des petits pas jusqu’à obtenir la suprématie qui doit vous permettre d’écraser l’autre. Permettez moi de ne pas trouver cela très…catholique.
Les succès répétés de la Flandre à chaque remise en cause de sa parole provoquant l’ouverture de nouvelles négociations est facilitée par la faiblesse de la Wallonie dominée sans partage réel par un parti anesthésiant visant à asservir les gens par l’assistanat en vue d’asseoir leur pouvoir. Il s’agit, ici aussi, d’un socialisme mais d’un socialisme mou que j’aurai tendance à appeler « socialisme de St Nicolas ». Avec l’ennui que la distribution des jouets commence par St Nicolas lui-même. Aucune chance de redressement en Wallonie tant qu’un tel parti sera omnipotent et que les autres partis se disputeront la « chance » de pouvoir l’accompagner servilement au pouvoir.
Vous l’avez compris, Monsieur Leterme, la situation belge ressemble à un scénario déjà connu : le national-socialisme contre le front populaire. Rassurez vous, l’issue de ce conflit ne fait pas de doute, mais une probable victoire de la Flandre n’est pas éternelle. L’Histoire nous apprend que la fortune est changeante. Sachez que nous n’oublierons pas de sitôt la veulerie du catholicisme flamingant.
Et pourtant, l’avenir pourrait être meilleur et l’union ferait une meilleure force pour les deux communautés. Mais pour cela, il faut que l’électeur décide de mettre fin à deux univers carcéraux : la xénophobie raciste en Flandre et la servilité de l’assistanat en Wallonie. Est-ce encore possible ? Ce sera difficile et vous faites tout ce qu’il faut pour le rendre impossible.
J’aime les gens constructifs, compréhensifs, respectueux, corrects ; je déteste les gens destructifs, égocentriques, haineux, menteurs. C’est pour cela, Monsieur Leterme, que vous me dégoûtez profondément. Allez boire votre vin de messe et lire votre évangile. Assurez vous au préalable de la présence du sigle AVV-VVK sur sa couverture.
Je n’ai pas l’honneur de vous saluer, Monsieur Leterme, car je ne voudrais pas que, par hypocrisie, vous n’ayez la politesse feinte d’enlever votre képi. Il vous va si bien.
Paul Cobut
Une lettre adressée à un homme représentant une certaine classe politique, pas la population flamande, qui mérite tellement mieux que des politiciens et des éditorialistes jouant la carte d'un nationalisme irresponsable.
Pierre-Alexandre de Maere d'Aertrycke
LETTRE OUVERTE A MONSIEUR LETERME
Ainsi donc, monsieur Leterme, vous n’avez, une nouvelle fois, pu cacher la haine méprisante que vous ressentez à l’égard de vos voisins francophones. Je n’ose dire compatriote car pour vous la Belgique n’est qu’une poubelle de l’Histoire abandonnée sur le trottoir de la Flandre. Cela fait longtemps, trop sans doute, que les francophones acceptent d’écouter les propos injurieux et mensongers des flamingants. Il ne faut pas exciter davantage les bêtes furieuses, mais trop de patience peut nuire à une solution équilibrée. Il est donc temps de répondre de manière pondérée mais ferme à votre discours fondé sur une vision faussée et mensongère de la Belgique et de ses habitants.
La Terre promise
Le Vlaamse grond représente le fondement idéologique du flamingantisme. Ceux de votre bord croient dur comme fer que la région occupée par la population flamande est un sanctuaire qui lui appartient depuis toujours et pour l’éternité. C’est oublier, un peu vite, que les populations actuelles de l’Europe du Nord proviennent des multiples invasions provenant d’Asie. Les peuplades germaniques, auxquelles appartient la population flamande, sont arrivées de l’est après les ancêtres des wallons et l’invasion a été stoppée à la frontière des forêts de l’époque, qui est, à peu de choses près, la frontière linguistique d’aujourd’hui. Ne me dites pas que cela n’est pas vrai. Un flamingant m’a dit récemment que nous avions eu la chance d’avoir des forêts pour nous protéger…L’esprit de conquête et de domination du peuple flamand n’est donc, semble t-il, pas une nouveauté.
Bref, la tribu germanique flamande est arrivée un peu tard et s’est emparée d’un territoire qui ne lui appartenait pas pour s’y installer et le considérer ensuite comme sa terre promise, son sanctuaire inviolable. Cette appartenance quasi mystique d’une terre éternellement réservée à l’homo flamandicus est donc une première déformation de l’Histoire.
La Belgique de Jules César
Les braves peuplades qui vivaient dans la partie septentrionale de la Gaule avaient, sans doute fini par s’entendre et devaient présenter suffisamment de traits communs pour que Jules César n’hésite pas à les appeler collectivement « Belgae ». Si pour vous, Monsieur Leterme, la Belgique est un accident de l’Histoire, ce fut alors un très ancien accident. Une chose me rassure cependant. Dans sa fameuse chronique « de bello galico » Jules César ne dit-il pas à propos des gaulois que « de tous, les belges sont les plus braves ». En réalité, les manuels ont extirpé la fin de la phrase qui se terminait par « mais sont aussi les plus bêtes ».En d’autres termes flamands et wallons étaient aussi stupides l’un que l’autre. Voilà une égalité qui ne doit pas vous faire plaisir, Monsieur Leterme, pas plus que l’existence lointaine d’une Belgique que vous semblez ignorer..
Jerusalem
De nombreux nobles flamands ont participé aux croisades et je ne doute pas qu’ils y ont fait preuve de hardiesse et de bravoure. Pas de chance, Monsieur Leterme, c’est un chevalier né à Baisy-Thy, un wallon donc, qui eut l’honneur de prendre la ville de Jerusalem en 1099. Plus personne d’autre ne réussit cet exploit une seconde fois. Vous le connaissez peut être. Allez, je vous mets sur la piste, il a hérité de terres dans les ardennes et y a bâti un remarquable château fort. Vous y êtes ! C’est bien de Godefroy (orthographe exacte) de Bouillon qu’il s’agit. Comme quoi certains wallons peuvent parfois se montrer courageux et téméraires. Au fait, savez vous quels étaient ses « chefs d’état major » ? Beaudouin II de Hainaut et …Robert II de Flandre. Vous ne vous souveniez pas ? Décidément, vous avez la mémoire sélective, Monsieur Leterme.
La bataille des éperons d’or
Ce haut fait d’armes est la victoire symbolique pour les flamingants de la supériorité des courageux vassaux flamands contre leur détesté suzerain, le roi de France. Voilà encore une présentation pour le moins déformée de l’Histoire car la bataille des éperons d’or n’opposait pas la Flandre à la France mais bien la Belgique à la France. Mais oui, vous ne rêvez pas, Monsieur Leterme, le comte de Namur et le Duc du Luxembourg ont participé avec leurs troupes à la bataille et certains historiens prétendent même que le comte de Namur était le commandant en chef des coalisés. Vous n’y croyez pas ? que soit…Vous ignorez, sans doute aussi, que deux années plus tard une seconde bataille eut lieu à Mons-en-Pévèle opposant une nouvelle fois la France à la Flandre aidée par les seuls namurois. L’issue de la bataille fut cette fois à l’avantage des français. N’ayez crainte, les manuels d’Histoire flamands n’en font jamais état, car l’histoire a été entièrement revisitée par les nationalistes flamingants. Comme nous allons le voir, ce n’est pas la seule falsification, loin s’en faut !
Les multiples occupations
Les troupes étrangères ont défilé pendant des siècles dans nos belles régions et, flamands comme wallons, ont été dominés par de multiples nations étrangères. Nous avons été français, espagnol, germanique autrichien, français à nouveau et finalement hollandais. Bien sur, il y eut quelques particularités intéressantes à signaler. Le premier roi de France fut un franc de nos ancêtres, un certain Clovis natif de Tournai. Cette ville, à l’histoire aussi riche que Bruges, fut aussi un certain temps sous domination anglaise. La principauté de Liège eut aussi une histoire différenciée des autres provinces belges. Je rappelerai que des villes flamandes comme Tongres ou Saint Trond firent partie, et de bon gré, de la principauté liégeoise. Une nouvelle preuve que les populations flamande et wallonne pouvaient vivre ensemble sans heurt et dans le respect réciproque. D’ailleurs, ces deux populations se retrouvèrent ensemble dans les provinces unies catholiques séparées des Pays-Bas réformistes. Que de parcours communs, vous ne trouvez pas, Monsieur Leterme ?
La dernière domination, celle du Prince d’Orange Nassau, ne fut pas au goût des belges. L’économie belge devenait vassale des hollandais et les anversois n’appréciaient pas particulièrement l’étouffement de leur port au bénéfice d’Amsterdam et surtout de Rotterdam.
L’indépendance de la Belgique
Le soulèvement de la population belge en 1830 ne fut donc pas, comme vous souhaitez nous le faire croire, un accident de l’Histoire. Bien au contraire, le mouvement indépendantiste toucha toute la population belge qui incluait le Grand Duché du Luxembourg actuel. Si ce mouvement naquit à Bruxelles et fut surtout soutenu par liège, il reçut l’approbation des autres régions dont aucune ne se rangea aux côtés des bataves.
Le choix de la langue nationale
Le choix d’une langue nationale s’imposait alors pour asseoir les structures administratives du jeune Etat. N’oublions pas que la conception de la gestion de l’Etat était forcément centralisatrice à cette époque. La décision fut prise par le premier parlement du royaume. Je vous entends déjà, Monsieur Leterme, rager contre le caractère purement francophone de ce parlement. Nouvelle falsification scandaleuse de la vérité historique ! Bien entendu, ce parlement était francophone pour la simple raison que nous étions à l’époque du vote censitaire et que donc seules la noblesse et la bourgeoisie avaient accès au pouvoir. Il se fait qu’à cette époque, les deux parlaient exclusivement français, la langue diplomatique européenne de l’époque. . Rappelez vous, Monsieur Leterme, nous sommes en 1830. D’ailleurs les devises de pays non latins étaient parfois exprimées en français. Avez-vous connaissance, Monsieur Leterme, du « Je maintiendrai » hollandais et du « Honni soit qui mal y pense » anglais ?
Autre précision, la participation flamande au premier parlement belge équivalait à celle des bruxellois et wallons, mais elle n’est pas apparente pour les flamingants puisque les parlementaires flamands, bourgeois et nobles, étaient francophones. Les manuels d’Histoire flamands travestissent donc totalement l’Histoire en faisant croire que le français fut imposé aux flamands par les ancêtres des francophones actuels. C’est, en réalité, l’ensemble de la classe dominante qui choisit à l’époque la langue française sans que cela ne suscite de débats passionnés. Et pour cause car, dans le contexte de l’époque, ce choix était simplement logique. Comme je l’ai dit, le français était à l’époque la langue des classes dominantes non seulement en Belgique mais sur l’ensemble de l’Europe. On parlait même français à la cour de Russie. D’autre part, les classes inférieures ne parlaient, en Belgique, qu’une multitude de dialectes locaux. Il n’y avait à l’époque pas plus de langue flamande que de langue wallonne. La langue flamande fut unifiée bien plus tard sous le sigle ABN après des décennies d’effort. Ne vous en déplaise, Monsieur Leterme, il n’y eut pas de véritable choix, et le français ne fut pas imposé par la population wallonne à la population flamande mais bien par les classes supérieures aux classes inférieures, au sud comme au nord du pays.
La période industrielle
Au moment de l’indépendance, l’industrie wallonne était en plein développement grâce aux charbonnages et à la sidérurgie qui généraient à leur tour de multiples ateliers mécaniques. Ce fut une époque de gloire pour la Belgique qui devint la seconde puissance industrielle du monde. C’est l’époque où l’arlonais Lenoir inventait le moteur à explosion tandis que le liégeois Gramme inventait la dynamo. Deux inventions majeures pour l’avenir, vous en conviendrez Monsieur Leterme, provenant de wallons paresseux et imbéciles. C’est à cette époque aussi que les wallons allèrent initier les suédois à la sidérurgie. Si vous vous promenez à Stockholm, peut être flânerez vous, sans le savoir, dans la rue des wallons. Le savoir-faire wallon fut exporté au Moyen Orient, en Chine, en Russie qui s’équipèrent de centrales électriques et de tramways conçus et réalisés chez nous. Ceci ne fut possible que parce que la Belgique existait car nombreux furent les travailleurs flamands qui vinrent en Wallonie pour participer à cet essor extraordinaire. La qualité de leur travail et leur apport à l’économie belge sont reconnues sans conteste.
Bien entendu, me direz vous, tout cela était finalement au profit exclusif des francophones. Nouvelle ignorance des réalités ! Le premier chemin de fer belge – qui était aussi le premier sur le continent – fut crée sur la ligne Bruxelles-Malines, en Flandre donc. Le canal Albert, travail gigantesque compte tenu des moyens de l’époque, fut réalisé pour exporter l’acier wallon via le port d’Anvers plutôt que le port de Rotterdam pourtant facilement accessible. Savez vous que, lors de la négociation avec les hollandais au moment de l’indépendance, pour obtenir la libre circulation sur l’Escaut pour le port d’Anvers, la Belgique s’est engagée à fournir actuellement un quota d’eau potable aux Pays-Bas ? Ignorez vous que cette eau provenait et provient toujours (car l’engagement est encore respecté aujourd’hui) de Wallonie ? Des industriels wallons ont initié l’exploitation des mines du Limbourg, Acec a ouvert une succursale à Gand, la fabrication ferroviaire a été développée à Bruges, Sidmar a été créé pour donner à la Flandre une industrie sidérurgique. La côte belge n’était à la fin du 19 ème siècle qu’une suite de petits villages de pêcheurs. Ce sont essentiellement des francophones qui ont développé les cités balnéaires de la Vlaamse kust. Le rayonnement économique de la Belgique allait permettre à Ostende de devenir « la reine des plages » comme Spa devenait la ville thermale à la mode. La ville flamande de Louvain, héritière d’un brillant passé, connut, pour la même raison, un nouveau développement avec la notoriété internationale d’une université au développement de laquelle les francophones participèrent plus qu’activement. Peut être avez-vous entendu parler du chanoine Lemaître, le concepteur de la théorie du big bang ? Il n’y a pas à dire, nous n’avons jamais manqué pas d’imbéciles en Wallonie.
Le développement industriel et culturel fut bien partagé durant cette période de gloire internationale et il serait scandaleux de prétendre que la prospérité de l’époque fut au bénéfice exclusif de la Wallonie. La Flandre fut, sans aucun doute possible, largement bénéficiaire de l’indépendance de la Belgique.
La révolution sociale
L’essor économique de la Belgique ne se faisait pas par clivage Nord-Sud mais bien par clivage de classes sociales. Le travail dur et souvent inhumain dans les industries lourdes situées en Wallonie allait générer la naissance du socialisme. Les ouvriers demandaient, à juste titre, un meilleur partage des richesses revenant jusqu’alors exclusivement à la bourgeoisie. Comme les dialectes wallons étaient plus proches du français que les dialectes flamands, les classes laborieuses eurent plus facile dans le sud à comprendre et parler un français, même approximatif, que les travailleurs du nord du pays. L’opposition se marqua donc, en Wallonie, par un socialisme politique basé sur la lutte des classes ou, si vous préférez, sur l’opposition patron-ouvrier.
Cette révolution sociale se développa également en Flandre. Un socialisme assez proche de celui de Wallonie se retrouvait dans le Limbourg minier tandis qu’un socialisme linguistique se manifestait partout ailleurs. Pourquoi ? Tout simplement, Monsieur Leterme, parce que la classe possédante flamande parlait français tandis que la classe dominée parlait l’un ou l’autre des dialectes flamands. Le français devint donc le symbole de l’ennemi dominateur et le clergé flamand, qui souhaitait logiquement l’émancipation du petit peuple industrieux, devint ainsi le fer de lance du socialisme linguistique à la base du flamingantisme. Le clergé, mieux éduqué que le peuple s’appuya sur la vieille lutte du comte de Flandre contre le roi de France pour donner à cette lutte une justification historique. Le clergé fut aussi à la base de la fondation de l’ABN qui allait permettre la création d’une véritable langue flamande. La bourgeoisie flamande se mit progressivement à parler flamand et pour garder son pouvoir vis-à-vis de la masse vindicative prétendit, c’est de bonne guerre, qu’elle avait été forcée à parler français depuis l’indépendance. Cette explication fallacieuse allait aviver le flamingantisme et créer les bases du problème communautaire belge. Pourtant, il y avait eu large interpénétration entre les deux communautés. A preuve les multiples Dewael ou autres Dewaal au nord du pays et les innombrables Flamand, Flament ou De Vlaminck résidant aujourd’hui dans le sud du pays. Il est d’ailleurs piquant de constater que les ministres les plus flamingants aujourd’hui s’appellent Anciaux, Dewael ou…Leterme. De notre côté nous avons une multitude de politiciens d’origine flamande comme Cools, Spitaels, Vanderbist, Van Cauwenberghe, Despiegeleer, Daerden ou autre Onckelinckx. Comme vous le voyez, Monsieur Leterme, la Belgiqueque vous vous acharnez à détruire est bel et bien une réalité.
L’influence allemande
Peu d’historiens ont étudié l’influence allemande sur le problème communautaire belge. Elle ne fut pourtant pas négligeable, loin de là. On a beaucoup parlé d’ordres donnés en français et incompréhensibles pour le soldat flamand lors de la bataille de l’yser, mais il y a, en réalité, très peu de faits concrets vérifiés. Il faut dire que les ordres militaires dans une tranchée ne peuvent être d’une variété et donc d’une complexité extrême. Les services allemands avaient tout intérêt, à cette époque, à répandre de telles rumeurs visant à diviser l’armée d’en face. En jetant le discrédit sur des officiers parlant français, on avait la possibilité de décapiter l’armée belge et de récupérer la sympathie de soldats appartenant à la famille germanique. Une telle volonté de subversion est bien compréhensible en période de guerre. Aucune enquête sérieuse n’a jamais été faite sur le sujet.
Durant la seconde guerre mondiale, vos amis nazis ont déporté en masse les prisonniers belges. Les ressortissants flamands furent rapidement libérés tandis que les wallons devaient rester en Allemagne. Cette différenciation marquait clairement la volonté des services allemands de diviser la Belgique. On peut s’étonner qu’aucune voix ne s’est élevée en Flandre pour s’émouvoir du sort des compatriotes francophones…
Une religion de l’insulte
Comme vous, Monsieur Leterme, j’ai usé mes culottes sur les bancs de l’école catholique. Même si je n’en ai pas conservé une foi vibrante comme la vôtre, les braves prêtres et petits frères de l’époque m’ont fait découvrir les valeurs de l’humanisme, du respect des autres, de la charité. Visiblement, l’enseignement catholique était quelque peu différent au nord du pays. J’ai pu observer, à l’époque, les scouts flamands, dont la couleur de chemise évoquait de mauvais souvenirs, défiler en chantant AVV-VVK. Tout pour la Flandre (donc rien pour les autres) et la Flandre pour le Christ. Un rien intégriste avec un zeste d’égoïsme bien marqué. Cela rappelait quelque peu un certain « Gott mit uns » de mauvaise mémoire…
Nous avons eu droit aussi aux « Mars op Brussel », la Flandre réclamant une part de gâteau toujours plus grande. Cela confirme, en tout cas, que, depuis l’indépendance jusqu’au début des années 1960, le transfert financier fut plutôt dans le sens Sud – Nord. Ces manifestations orchestrées par un parti catholique rabique étaient agressives et franchement anti-francophones. Ceux qui ont vécu cela se souviennent de la présence d’un militant bien connu à ces marches de santé. Il s’appelait Maertens, Wilfried de son prénom, et fut plus tard plébiscité par les wallons (vous avez raison, nous pouvons être très bêtes) comme premier ministre ! Il ne fallut pas attendre longtemps pour entendre « Walen buiten » à la très catholique université de Leuven. Ce rejet de l’autre était d’autant plus scandaleux que celui-ci avait largement contribué à renforcer le rayonnement international de cette vénérable institution.
Mais le pire était encore à venir. Des associations flamandes comme le TAK ou le VMO (organisation paramilitaire s’il en est) créèrent des troubles un peu partout. Plaques indicatrices barbouillées, voitures françaises taguées à la côte belge, pardon la Vlaamse kust, n’étaient que le reflet « amusant » des brutalités perpétrées par ces voyoux dans cetains villages. Les insultes volaient : « Fransquiljoenen, waalse ratten ... »enzovoort Ces chemises brunes participèrent aussi à l’annexion des Sudètes, je veux dire les Fourons. Ces villages d’origine totalement wallons avaient attiré de nombreux résidents hollandais, ce qui permit aux flamands de les considérer comme appartenant au Vlaamse grond. Pas question de se souvenir dans ce cas de l’historique de cette région. Tout l’inverse de la dialectique flamingante à Bruxelles…Personnellement, Monsieur Leterme, j’aurais admis volontiers que ces villages soient à facilités avec un maximum de respect et de tolérance, le nombre de résidents des deux langues étant d’ailleurs à peu près à parité. Oui, je sais, vous n’acceptez pas une telle tolérance à des endroits où des francophones sont en large majorité. L’amour du prochain que vous a dicté votre foi catholique, sans doute.
Le CVP s’est emparé du pouvoir et le poste de premier ministre fut littéralement séquestré par ce parti compréhensif et généreux. Les affaires économiques furent aussi réservées à des ministres flamands. Ainsi, les représentations ou missions à l’étranger furent essentiellement au bénéfice de la Flandre. Les investissements en infrastructures furent aussi largement profitables à Moeder Vlaanderen : autoroutes, aménagement des ports d’Anvers et de Zeebrugge, création de zonings avec incitants pour les investissements étrangers, partout la priorité était au nord du pays. Jamais dans le monde, je n’ai pu observer une telle disparité entre deux communautés. La main mise sur le pouvoir politique et administratif était d’autant moins justifiée que la proportion 57/43% devait normalement s’accommoder d’un partage plus équitable. Mais tout était justifié par la fable de la revanche contre les vilains francophones qui avaient imposé leur langue aux gentils flamands et qui d’ailleurs ne voulaient toujours pas se mettre à la langue de Vondel.
Parler flamand ?
Nous touchons là au leitmotiv des flamingants : les francophones refusent de parler leur langue. Traduisons : un million de francophones de Bruxelles et de la périphérie ne veulent pas perdre leur identité et se laisser absorber par la notion flamande. Je vous concède que ceci doit vous agacer, Monsieur Leterme. Quel surcroît de puissance n’aurait pas la Flandre si elle pouvait se rendre maître de la capitale de l’Europe ?
Eh, bien, Monsieur Leterme, je ne me débrouille pas mal dans votre langue mais j’avoue ne pas avoir envie de la parler. Aimeriez vous parler la langue d’une nation dont l’attitude est agressive et insultante à votre égard depuis des décennies ? Et puis à quoi bon ? Malgré la promotion de l’ABN les dialectes restent très vivaces. Il m’arrive toujours d’obtenir des réponses en dialecte lorsque, par respect et par politesse, je fais l’effort de parler Néerlandais en Flandre. J’ajouterai que la réponse est parfois donnée avec un petit sourire narquois pour me faire comprendre que je suis un étranger à la race flamande. Je ne suis toujours pas capable de comprendre deux limbourgeois ou deux westhoekers parlant ensemble. Chose rassurante, un westhoeker ne comprendra pas mieux que moi le limbourgeois. Vous pensez évidemment que j’exagère. Et pourtant, lorsque je dirigeais un département au sein d’une multinationale, j’ai souhaité traduire une série de documents dans les différentes langues des pays dont j’avais la charge. Tout s’est très bien passé, sauf en néerlandais car je n’ai jamais pu mettre d’accord la clientèle flamande et néerlandaise sur des textes communs. Les corrections de plusieurs flamands divergeaient même entre elles. J’ai donc pris la sage décision de continuer la distribution de textes en Anglais pour les Pays-Bas et la Flandre. Par chance, les textes dans la langue de Voltaire furent agréés aussi bien par les français que les wallons. Aucun de ces derniers n’exigea des connotations de Liège, de Charleroi ou d’Houtsiploux.
Désolé, Monsieur Leterme, mais vous comprendrez que votre langue manque d’attrait, en grande partie à cause du comportement même des flamands.
Le refus de toute objectivité
Excédé par la hargne et le non respect de certaines libertés, les francophones ont demandé un examen neutre et objectif d’une instance extérieure. Une envoyée de l’Union européenne vint examiner la situation et conclut à l’excellent traitement de la minorité flamande à Bruxelles et au mauvais traitement des libertés dans la périphérie de la capitale. Cet avis émanait pourtant d’une femme respectable dont l’objectivité aux yeux des flamands semblait garantie par sa provenance ethnique. Cette dame respectable était pourtant d’origine germanique.
Le rapport de l’experte de l’Union européenne ne plut évidemment pas aux ayatollahs flamingants et fut donc jeté aux ordures. Avec raison, car la réaction francophone fut tellement faible qu’elle en fut ridicule. C’est vrai, Monsieur Leterme, à force d’être conciliants, nos représentants sont souvent de grands imbéciles. Ce qui est réconfortant c’est que vous ne manquez pas d’être cons également. La repeinture des poteaux de signalisation en jaune et noir est un signe de votre obsession nationaliste qui ne manque pas de ridicule.
National socialisme et front populaire
Une analyse lucide de la situation permet de résumer le problème actuel de la vie communautaire en Belgique.
Le socialisme linguistique de la Flandre a tourné à l’obsession, orientée habilement par la bourgeoisie flamande contre les francophones de Bruxelles et de Wallonie. Cette prise de position a été exacerbée par les activistes de certains milieux politiques et confessionnels. Le milieu catholique flamand a engendré la haine et le mépris et a provoqué l’éclosion d’un national socialisme flamand, mieux connu sous le vocable de flamingantisme.
Comme Hitler, votre politique est essentiellement basée sur la haine, le mépris et l’insulte alimentée par une excuse de revanche, supposée juste et nécessaire. Comme Hitler, vous cultivez la religion de l’Ubermensch et de l’Untermensch. Comme Hitler, seule la prospérité de votre nation compte, fut ce au détriment des autres. Comme Hitler vous multipliez les mensonges et reniez vos paroles le lendemain d’un accord conclu. Comme Hitler, vous pratiquez la politique des petits pas jusqu’à obtenir la suprématie qui doit vous permettre d’écraser l’autre. Permettez moi de ne pas trouver cela très…catholique.
Les succès répétés de la Flandre à chaque remise en cause de sa parole provoquant l’ouverture de nouvelles négociations est facilitée par la faiblesse de la Wallonie dominée sans partage réel par un parti anesthésiant visant à asservir les gens par l’assistanat en vue d’asseoir leur pouvoir. Il s’agit, ici aussi, d’un socialisme mais d’un socialisme mou que j’aurai tendance à appeler « socialisme de St Nicolas ». Avec l’ennui que la distribution des jouets commence par St Nicolas lui-même. Aucune chance de redressement en Wallonie tant qu’un tel parti sera omnipotent et que les autres partis se disputeront la « chance » de pouvoir l’accompagner servilement au pouvoir.
Vous l’avez compris, Monsieur Leterme, la situation belge ressemble à un scénario déjà connu : le national-socialisme contre le front populaire. Rassurez vous, l’issue de ce conflit ne fait pas de doute, mais une probable victoire de la Flandre n’est pas éternelle. L’Histoire nous apprend que la fortune est changeante. Sachez que nous n’oublierons pas de sitôt la veulerie du catholicisme flamingant.
Et pourtant, l’avenir pourrait être meilleur et l’union ferait une meilleure force pour les deux communautés. Mais pour cela, il faut que l’électeur décide de mettre fin à deux univers carcéraux : la xénophobie raciste en Flandre et la servilité de l’assistanat en Wallonie. Est-ce encore possible ? Ce sera difficile et vous faites tout ce qu’il faut pour le rendre impossible.
J’aime les gens constructifs, compréhensifs, respectueux, corrects ; je déteste les gens destructifs, égocentriques, haineux, menteurs. C’est pour cela, Monsieur Leterme, que vous me dégoûtez profondément. Allez boire votre vin de messe et lire votre évangile. Assurez vous au préalable de la présence du sigle AVV-VVK sur sa couverture.
Je n’ai pas l’honneur de vous saluer, Monsieur Leterme, car je ne voudrais pas que, par hypocrisie, vous n’ayez la politesse feinte d’enlever votre képi. Il vous va si bien.
Paul Cobut
vendredi, août 31, 2007
A l'attention de : tous les vrais Belges/ Ter attentie van : alle echte Belgen
http://www.lapetition.be/petition.php?petid=408
Wij, Belgen van geboorte, in hart en nieren of van adoptie, vragen aan de politici om ons land en zijn Eenheid te respecteren.Ons land is te klein om nog in kleine stukken verdeeld te worden, vooral binnen het huidige Europa.Wij, Belgen uit alle Gewesten en van alle Gemeenschappen, vragen aan de politici om zich bezig te houden met de echte, en meer dringende, problemen van dit land zoals de werkgelegenheid, de veiligheid, de gezondheid, het welzijn, het milieu ..., zonder hun tijd en ONS geld te verspillen met ruzies over zaken die alleen maar een kleine minderheid betreffen.Onze Eendracht zal onze Macht zijn !Bedankt.om te ondertekenen, klik op "signer la pétition". De volgende informatie is noodzakelijk: naam(nom); voornaam(prénom); woonplaats(localité); land(pays);nationaliteit(nationalité); beroep(profession). "Vergeet uw handtekening niet te bevestigen door te klikken op de link in de e-mail die u onmiddellijk na het invullen van de petitie zult krijgen."
*****************************************
Nous, Belges de naissance, de coeur ou d'adoption, demandons que les hommes politiques respectent notre pays!Et son Unité. Notre pays est trop petit, à l'heure de l'Europe, pour être divisé. Nous, Belges de toutes les Régions et de toutes les Communautés, demandons aux hommes politiques de s'occuper des vrais problèmes tels que emploi, sécurité, santé, bien-être, l’environnement,... sans gaspiller leur temps et NOTRE argent à des querelles qui ne concernent qu'une petite minorité.L'Union fera notre force!(N'oubliez pas de confirmer votre signature via le mail qui est envoyé dans les minutes qui suivent.)
****************************************
Wir, Belgier von Geburt, im Herzen oder durch Adoption...fordern die Politiker auf, unser Landes und seine Einheit zu respektieren.Unser Land ist zu klein, um weiter zerstückelt zu werden, vor allem im heutigen Europa.Wir, Belgier aller Regionen und aller Gemeinschaften, fordern die Politiker auf, sich mit den wirklichen, dringenden Problemen dieses Landes wie Arbeitsplätze, Sicherheit, Gesundheit, Wohlbefinden, Umwelt ... zu beschäftigen, ohne ihre Zeit und UNSER Geld im Streit um Themen, die nur eine Minderheit betreffen, zu verschwenden.Unsere Eintracht wird unsere Stärke sein !Danke.(Bitte nicht vergessen, Ihre Unterschrift zu bestätigen, imdem Sie das email zurücksenden, welches Ihnen in einigen Minuten zugesandt wird)
****************************************
Hissons nos couleurs !
Sortons nos drapeaux aux fenêtres, montrons à nos élus que nous n'avons pas abdiqué !
Wij, Belgen van geboorte, in hart en nieren of van adoptie, vragen aan de politici om ons land en zijn Eenheid te respecteren.Ons land is te klein om nog in kleine stukken verdeeld te worden, vooral binnen het huidige Europa.Wij, Belgen uit alle Gewesten en van alle Gemeenschappen, vragen aan de politici om zich bezig te houden met de echte, en meer dringende, problemen van dit land zoals de werkgelegenheid, de veiligheid, de gezondheid, het welzijn, het milieu ..., zonder hun tijd en ONS geld te verspillen met ruzies over zaken die alleen maar een kleine minderheid betreffen.Onze Eendracht zal onze Macht zijn !Bedankt.om te ondertekenen, klik op "signer la pétition". De volgende informatie is noodzakelijk: naam(nom); voornaam(prénom); woonplaats(localité); land(pays);nationaliteit(nationalité); beroep(profession). "Vergeet uw handtekening niet te bevestigen door te klikken op de link in de e-mail die u onmiddellijk na het invullen van de petitie zult krijgen."
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Nous, Belges de naissance, de coeur ou d'adoption, demandons que les hommes politiques respectent notre pays!Et son Unité. Notre pays est trop petit, à l'heure de l'Europe, pour être divisé. Nous, Belges de toutes les Régions et de toutes les Communautés, demandons aux hommes politiques de s'occuper des vrais problèmes tels que emploi, sécurité, santé, bien-être, l’environnement,... sans gaspiller leur temps et NOTRE argent à des querelles qui ne concernent qu'une petite minorité.L'Union fera notre force!(N'oubliez pas de confirmer votre signature via le mail qui est envoyé dans les minutes qui suivent.)
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lundi, juillet 23, 2007
La Brabançonne
Magnifique site sur la Brabançonne : http://www.arquebusiers.be/brabanconne.htm
A consulter et faire connaître autour de vous !
La "fausse note" d'Yves Leterme, vraisemblable futur premier ministre, entomnant la Marseillaise à la place de la Brabançonne, par méconnaissance et pris au piège par la RTBF, est révélatrice d'un hymne national belge peu connu auprès de la grande majorité de nos concitoyens.
Une bourde, oui. Maladroite, certes. Pas dramatique, en tout cas. Car ce sont d'autres qualités, avant tout, que l'on attend d'un premier ministre. Celle de connaître la langue de l'autre Communauté et de pouvoir faire s'asseoir autour d'une même table des personnes de chacune de nos Communautés qui pourront travailler ensemble au service du pays.
C'est dire cependant s'il y a un effort à faire de ce côté-là aussi. La cohésion de nos Communautés passe également par une meilleure connaissance de ce qui fait notre histoire commune, des chants qui nous rassemblent, des traditions et du floklore de nos régions et localités.
Un beau chantier qui s'ouvre pour les programmes et manuels scolaires, pour les médias, pas uniquement à l'occasion du 21 juillet ou lors d'événements sportifs ...
A consulter et faire connaître autour de vous !
La "fausse note" d'Yves Leterme, vraisemblable futur premier ministre, entomnant la Marseillaise à la place de la Brabançonne, par méconnaissance et pris au piège par la RTBF, est révélatrice d'un hymne national belge peu connu auprès de la grande majorité de nos concitoyens.
Une bourde, oui. Maladroite, certes. Pas dramatique, en tout cas. Car ce sont d'autres qualités, avant tout, que l'on attend d'un premier ministre. Celle de connaître la langue de l'autre Communauté et de pouvoir faire s'asseoir autour d'une même table des personnes de chacune de nos Communautés qui pourront travailler ensemble au service du pays.
C'est dire cependant s'il y a un effort à faire de ce côté-là aussi. La cohésion de nos Communautés passe également par une meilleure connaissance de ce qui fait notre histoire commune, des chants qui nous rassemblent, des traditions et du floklore de nos régions et localités.
Un beau chantier qui s'ouvre pour les programmes et manuels scolaires, pour les médias, pas uniquement à l'occasion du 21 juillet ou lors d'événements sportifs ...
vendredi, juillet 20, 2007
Pavoisons ! Bonne Fête Nationale !
En ce jour de Fête Nationale, arborons les couleurs nationales aux fenêtres de nos maisons et appartements !
Le Roi Albert se réjouit, dans son discours, des nombreuses initiatives citoyennes des derniers mois favorisant une collaboration ou une meilleure compréhension des différentes communautés de notre beau pays.
Par ailleurs des négociations gouvernementales ardues ont débuté concernant notamment l'avenir institutionnel de la Belgique.
Sortons nos drapeaux pour témoigner ainsi de notre attachement à notre pays, à nos institutions, à l'unité et à la solidarité entre les Belges !
Le Roi Albert se réjouit, dans son discours, des nombreuses initiatives citoyennes des derniers mois favorisant une collaboration ou une meilleure compréhension des différentes communautés de notre beau pays.
Par ailleurs des négociations gouvernementales ardues ont débuté concernant notamment l'avenir institutionnel de la Belgique.
Sortons nos drapeaux pour témoigner ainsi de notre attachement à notre pays, à nos institutions, à l'unité et à la solidarité entre les Belges !
lundi, juillet 16, 2007
Maintien d’une sécurité sociale fédérale - Behoud van de federale sociale zekerheid
Une action de solidarité en Belgique et au-delà. Une initiative qui vient de Flandres.
Chaque jour nous constatons combien il est difficile de garantir la solidarité (Opel, VW, Inbev ...).Au moment où les syndicats essayent de s’unir au niveau européen et mondial en vue de protéger les travailleurs, la politique en Flandres veut continuer et accélérer la réforme de l’Etat, avec la scission de la sécurité sociale ou de la politique de l’emploi comme priorité à l’agenda. Sous le prétexte que tout le monde en bénéficiera. Et bien, nous ne sommes pas convaincus....
La solidarité sociale est un principe fondé sur la solidarité entre tous les Belges, dont chacun peut bénéficier lorsqu’il en a besoin. Que l’on devienne sans emploi, que l’on prenne un crédit-temps, que l’on devienne malade ou que l’on doive entrer en maison de repos.La sécurité sociale est une cathédrale qu’on doit chérir et sur laquelle on doit veiller pour qu’elle reste debout. Le ciment pour garantir qu’elle reste debout est la SOLIDARITE. Le but n’est pas de scinder la sécurité sociale flamande et wallonne pour pouvoir construire deux meilleures cathédrales, MAIS DE SCINDER LE CIMENT (=LA SOLITARITE) DE SORTE QU’ON PUISSE LA DEMOLIR PLUS FACILEMENT! Cela va à l’encontre de l’intérêt des travailleurs.
Signez la pétition http://www.ipetitions.com/petition/ssffsz/index.html
Vous pouvez signer sans payer le soutien financier proposé par le Website !
Avec le soutien de plusieurs personnalités, groupements (Bplus, …), représentants syndicaux et politiques.
________________________
Een actie van solidariteit in België en ver daarbuiten. Een initiatief dat van Vlaanderen komt.
Hoe moeilijk het is om de solidariteit te behouden zien we elke dag weer (Opel, VW, Inbev ...) Daarom proberen de vakbewegingen op Europees vlak en mondiaal vlak de solidariteit uit te bouwen en te versterken door zich te verenigen over de grenzen heen ter bescherming van de werknemers. Net nu die syndicale beweging om te verenigen over de grenzen op gang komt krijgen we vanuit de media te horen dat de politieke wereld in Vlaanderen klaar is om België verder te hervormen (lees splitsen).
Waar de ene partij zich profileert om het arbeidsbeleid te hervormen (splitsen) doet de andere partij een opbod om de gezondheidszorg mee te hervormen (splitsen). Natuurlijk uit de beweegreden dat iedereen er beter van zou worden, zowel Vlamingen als Walen. Wel daar zijn wij niet van overtuigd …
De sociale zekerheid is een stelsel dat gebaseerd is op solidariteit tussen alle Belgen, waar iedereen als hij het nodig heeft van kan genieten. Dat kan zijn als men werkloos wordt maar evengoed als men tijdskrediet wil opnemen, als men ziek wordt of als men naar een rusthuis moet , vul verder maar aan. Die sociale zekerheid is een kathedraal die we moeten koesteren en beschermen zodat ze overeind blijft. De cement waar deze kathedraal mee overeind blijft=SOLIDARITEIT. Men wil de sociale zekerheid niet splitsen om voor de Vlamingen of Walen een mooiere kathedraal te bouwen. Maar om de cement (lees solidariteit) te splitsen zodat men ze gemakkelijker kan afbreken. Dit is in tegenstelling met de belangen van de werknemers.
Teken de petitie http://www.ipetitions.com/petition/ssffsz/index.html
U kunt ondertekenen zonder financiële steun aan de Website te betalen !
Met de steun van verschillende personaliteiten, verenigingen (Bplus, …), syndicale en politieke vertegenwoordigers.
Chaque jour nous constatons combien il est difficile de garantir la solidarité (Opel, VW, Inbev ...).Au moment où les syndicats essayent de s’unir au niveau européen et mondial en vue de protéger les travailleurs, la politique en Flandres veut continuer et accélérer la réforme de l’Etat, avec la scission de la sécurité sociale ou de la politique de l’emploi comme priorité à l’agenda. Sous le prétexte que tout le monde en bénéficiera. Et bien, nous ne sommes pas convaincus....
La solidarité sociale est un principe fondé sur la solidarité entre tous les Belges, dont chacun peut bénéficier lorsqu’il en a besoin. Que l’on devienne sans emploi, que l’on prenne un crédit-temps, que l’on devienne malade ou que l’on doive entrer en maison de repos.La sécurité sociale est une cathédrale qu’on doit chérir et sur laquelle on doit veiller pour qu’elle reste debout. Le ciment pour garantir qu’elle reste debout est la SOLIDARITE. Le but n’est pas de scinder la sécurité sociale flamande et wallonne pour pouvoir construire deux meilleures cathédrales, MAIS DE SCINDER LE CIMENT (=LA SOLITARITE) DE SORTE QU’ON PUISSE LA DEMOLIR PLUS FACILEMENT! Cela va à l’encontre de l’intérêt des travailleurs.
Signez la pétition http://www.ipetitions.com/petition/ssffsz/index.html
Vous pouvez signer sans payer le soutien financier proposé par le Website !
Avec le soutien de plusieurs personnalités, groupements (Bplus, …), représentants syndicaux et politiques.
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Een actie van solidariteit in België en ver daarbuiten. Een initiatief dat van Vlaanderen komt.
Hoe moeilijk het is om de solidariteit te behouden zien we elke dag weer (Opel, VW, Inbev ...) Daarom proberen de vakbewegingen op Europees vlak en mondiaal vlak de solidariteit uit te bouwen en te versterken door zich te verenigen over de grenzen heen ter bescherming van de werknemers. Net nu die syndicale beweging om te verenigen over de grenzen op gang komt krijgen we vanuit de media te horen dat de politieke wereld in Vlaanderen klaar is om België verder te hervormen (lees splitsen).
Waar de ene partij zich profileert om het arbeidsbeleid te hervormen (splitsen) doet de andere partij een opbod om de gezondheidszorg mee te hervormen (splitsen). Natuurlijk uit de beweegreden dat iedereen er beter van zou worden, zowel Vlamingen als Walen. Wel daar zijn wij niet van overtuigd …
De sociale zekerheid is een stelsel dat gebaseerd is op solidariteit tussen alle Belgen, waar iedereen als hij het nodig heeft van kan genieten. Dat kan zijn als men werkloos wordt maar evengoed als men tijdskrediet wil opnemen, als men ziek wordt of als men naar een rusthuis moet , vul verder maar aan. Die sociale zekerheid is een kathedraal die we moeten koesteren en beschermen zodat ze overeind blijft. De cement waar deze kathedraal mee overeind blijft=SOLIDARITEIT. Men wil de sociale zekerheid niet splitsen om voor de Vlamingen of Walen een mooiere kathedraal te bouwen. Maar om de cement (lees solidariteit) te splitsen zodat men ze gemakkelijker kan afbreken. Dit is in tegenstelling met de belangen van de werknemers.
Teken de petitie http://www.ipetitions.com/petition/ssffsz/index.html
U kunt ondertekenen zonder financiële steun aan de Website te betalen !
Met de steun van verschillende personaliteiten, verenigingen (Bplus, …), syndicale en politieke vertegenwoordigers.
mercredi, juin 13, 2007
10 juin 2007 - Elections législatives - MERCI !
Avant toute chose, je tiens à remercier les 947 électeurs qui m'ont accordé leur suffrage !
Cependant, avant de me les attribuer, c'est principalement au projet du CDF que ces voix ont été données.
Un projet qui garde toutes ses raisons d'être et pour lequel des citoyens continuent de se faire membres, un projet soutenu à la Chambre par 12.000 voix et au Sénat par 13.300 voix ! Ce n'est pas négligeable, loin de là.
Aussi, candidats et responsables du CDF ont déjà manifesté leur volonté de poursuivre la relance du CDF, afin que ses priorités politiques (dignité de toute personne, dont les plus précarisées, soutien à la famille, enseignement de qualité pour tous, esprit d'entreprise, solidarité nationale et internationale, fédéralisme d'union, éthique politique) soient soutenues par un nombre de citoyens et d'adhérents de plus en plus grand. Je les félicite chaleureusement pour leur engagement durable !
Pierre-Alexandre de Maere d'Aertrycke
Cependant, avant de me les attribuer, c'est principalement au projet du CDF que ces voix ont été données.
Un projet qui garde toutes ses raisons d'être et pour lequel des citoyens continuent de se faire membres, un projet soutenu à la Chambre par 12.000 voix et au Sénat par 13.300 voix ! Ce n'est pas négligeable, loin de là.
Aussi, candidats et responsables du CDF ont déjà manifesté leur volonté de poursuivre la relance du CDF, afin que ses priorités politiques (dignité de toute personne, dont les plus précarisées, soutien à la famille, enseignement de qualité pour tous, esprit d'entreprise, solidarité nationale et internationale, fédéralisme d'union, éthique politique) soient soutenues par un nombre de citoyens et d'adhérents de plus en plus grand. Je les félicite chaleureusement pour leur engagement durable !
Pierre-Alexandre de Maere d'Aertrycke
lundi, juin 04, 2007
Voter pour le CDF, ce n'est certainement pas perdre sa voix !
C'est ce que certains pensent ou tentent de faire croire : "Ne votez pas pour un parti non encore représenté au Parlement, vous perdriez votre voix, c'est un vote inutile" !
Que du contraire ! Donner sa voix au CDF, c'est donner du poids à un projet qui correspond à vos aspirations politiques.
Plus le CDF obtiendra de voix, plus son projet aura du poids dans le champ politique, même sans obtenir encore d'élus. Cela, c'est la réalité.
Nous l'avons constaté dès les premières élections en 2003. Nous avions obtenu plusieurs dizaines de milliers de voix, ce qui a donné à notre projet politique un poids certain, avec une incidence réelle, aujourd'hui encore, sur le cdH et le MR en tout cas. Uniquement parce que le CDF existe et est soutenu par un certain nombre de membres et d'électeurs, parce qu'il se présente dans toutes les circonscriptions.
Voter pour un candidat figurant sur la liste d'un plus grand parti risque par contre de constituer un chèque en blanc pour le parti auquel vous donnerez votre voix et signifie souvent que des lois ou prises de positions seront votées par ce parti en totale opposition avec vos convictions. Il est primordial d'accorder son suffrage à un projet politique qui agira en conformité avec les raisons qui vous auront poussé à lui donner votre confiance.
Le CDF, qui a obtenu ses premiers élus aux élections communales, acquiert quant à lui de plus en plus de crédibilité et devient même "incontournable" dans le champ politique, comme il a été écrit dernièrement dans la presse. Une raison de plus pour voter pour les candidats de ce parti. N'attendez pas que le CDF grandisse pour le soutenir, ce n'est que par l'implication du plus grand nombre, dès aujourd'hui, que ce projet aura davantage de poids.
Que du contraire ! Donner sa voix au CDF, c'est donner du poids à un projet qui correspond à vos aspirations politiques.
Plus le CDF obtiendra de voix, plus son projet aura du poids dans le champ politique, même sans obtenir encore d'élus. Cela, c'est la réalité.
Nous l'avons constaté dès les premières élections en 2003. Nous avions obtenu plusieurs dizaines de milliers de voix, ce qui a donné à notre projet politique un poids certain, avec une incidence réelle, aujourd'hui encore, sur le cdH et le MR en tout cas. Uniquement parce que le CDF existe et est soutenu par un certain nombre de membres et d'électeurs, parce qu'il se présente dans toutes les circonscriptions.
Voter pour un candidat figurant sur la liste d'un plus grand parti risque par contre de constituer un chèque en blanc pour le parti auquel vous donnerez votre voix et signifie souvent que des lois ou prises de positions seront votées par ce parti en totale opposition avec vos convictions. Il est primordial d'accorder son suffrage à un projet politique qui agira en conformité avec les raisons qui vous auront poussé à lui donner votre confiance.
Le CDF, qui a obtenu ses premiers élus aux élections communales, acquiert quant à lui de plus en plus de crédibilité et devient même "incontournable" dans le champ politique, comme il a été écrit dernièrement dans la presse. Une raison de plus pour voter pour les candidats de ce parti. N'attendez pas que le CDF grandisse pour le soutenir, ce n'est que par l'implication du plus grand nombre, dès aujourd'hui, que ce projet aura davantage de poids.
vendredi, juin 01, 2007
Controverse - Dimanche 3 mai de 12h00 à 12h55
http://www.rtltvi.be/emission/controverse/26.aspx?sommaireid=2139
Pascal Vrebos
Au cœur d'un décor qui privilégie encore plus la relation étroite entre le témoin, l'invité et le téléspectateur, Pascal Vrebos favorise souplesse dans les échanges et interactivité accrue.
Parce que le premier débat de société, en Belgique francophone, se veut plus que jamais réactif aux événements et encore plus rapide dans le traitement de l'actualité.
Lieu d'échanges d'idées, incontournable dans son domaine, Controverse invite acteurs et témoins de la société civile à échanger et à confronter leurs idées sur un thème d'actualité économique, sociale ou politique.
L'objectif : informer le téléspectateur, lui donner des réponses claires et sans ambages, l'amener à prolonger le débat, à l'élargir en interrogeant les responsables invités.
Ils et elles sont célèbres et se retrouvent subitement comme candidats politiques. Ces « peoples » sont-ils crédibles d'emblée, que doivent-ils prouver aux électeurs ? Ont-ils des convictions et lesquelles ? A côté des grands partis, se battent également de tous petits partis souvent sans structures et sans moyens. Quels sont leurs combats, qu'on-ils à dire que ne disent pas les partis traditionnels ?
Florence Reuter : Candidate MR
Carine Rousso : Candidate Ecolo
Anne Delvaux : Candidate cdH
Claude Lelièvre : Candidat PS
Roland Duchâtelet : Président de Vivant
Pierre-Alexandre de Maere d'Aertrycke : Président du CDF
Hans Van de Cauter : Président de B.U. (Union Belge)
Jean-Marie Kaddes : Tête de liste au Sénat au CAP (Comité pour une autre politique)
Pascal Vrebos
Au cœur d'un décor qui privilégie encore plus la relation étroite entre le témoin, l'invité et le téléspectateur, Pascal Vrebos favorise souplesse dans les échanges et interactivité accrue.
Parce que le premier débat de société, en Belgique francophone, se veut plus que jamais réactif aux événements et encore plus rapide dans le traitement de l'actualité.
Lieu d'échanges d'idées, incontournable dans son domaine, Controverse invite acteurs et témoins de la société civile à échanger et à confronter leurs idées sur un thème d'actualité économique, sociale ou politique.
L'objectif : informer le téléspectateur, lui donner des réponses claires et sans ambages, l'amener à prolonger le débat, à l'élargir en interrogeant les responsables invités.
Ils et elles sont célèbres et se retrouvent subitement comme candidats politiques. Ces « peoples » sont-ils crédibles d'emblée, que doivent-ils prouver aux électeurs ? Ont-ils des convictions et lesquelles ? A côté des grands partis, se battent également de tous petits partis souvent sans structures et sans moyens. Quels sont leurs combats, qu'on-ils à dire que ne disent pas les partis traditionnels ?
Florence Reuter : Candidate MR
Carine Rousso : Candidate Ecolo
Anne Delvaux : Candidate cdH
Claude Lelièvre : Candidat PS
Roland Duchâtelet : Président de Vivant
Pierre-Alexandre de Maere d'Aertrycke : Président du CDF
Hans Van de Cauter : Président de B.U. (Union Belge)
Jean-Marie Kaddes : Tête de liste au Sénat au CAP (Comité pour une autre politique)
mardi, mai 29, 2007
Elections : démocratie et écologie ??
Vous avez dit "démocratiques" nos élections législatives ?
Avant de faire la leçon à d'autres pays du globe, voyons d'abord si les partis actuellement au Parlement oeuvrent vraiment pour plus de démocratie ...
Edifiant !
Non contents de ne pas devoir récolter un nombre important de signatures (+ de 5000)pour la présentation de leurs propres listes, après avoir imposé un seuil de 5% minimum pour stopper la concurrence, après s'être adjugé une manne de 1 million d'euros par parti sortant rien que pour payer leur campagne (affiches, location de véhicules, mettings, courriers à tous les électeurs, ...), jusqu'au niveau local (communal) c'est la loi du plus fort qui est en vigueur. Une loi qui ne figure pas au Moniteur, mais qui se pratique en toute impunité, en toute illégalité !
Tous égaux devant la loi ?! Où avez-vous lu cela ? Non, mais il ne faut pas rêver, tout de même ! La démocratie n'est pas de ce monde, et puis, comparé aux autres Etats de la planète, nous ne sommes quand même pas à plaindre, non ?!
Lois anti-discriminations, égalités des chances, démocratie figurent en bonne place dans les programmes de la bande des quatres. Mythe ou réalité ?
Vécu aujourd'hui. Dépôt d'affiches dans les communes où ce n'est pas la loi de la jungle (où chaque parti peut coller lui-même), mais où c'est le pouvoir installé qui fait SA loi.
Uccle : chaque panneau est divisé en 11 parts égales : 10 pour les 10 grandes listes et 1 pour TOUTES les autres listes (actuellement ce dernier est divisé en 4 !).
Woluwe-Saint-Pierre : là, le Collège a décidé que la priorité sur les panneaux allait aux listes présentes au sein du Conseil communal de la commune. C'est la commune qui affiche, donc pas de souci, la règle LOCALE sera strictement respectée !
Bruxelles-Ville : leur convention stipule que la commune, qui s'arroge le droit d'afficher elle seule aussi sur ses panneaux, ne fera que trois panneaux maximum par jour ! A ce rythme, on sera vite au 10 juin, sans avoir fait le tour complet pour les plus petites listes qui n'ont reçu leur numéro de liste que bien après les grandes listes !
Etterbeek : les panneaux sont à disposition de ceux qui peuvent coller le plus et le plus vite possible (c'est-à-dire ceux qui ont reçu 1 million d'euros à dépenser), il n'y a aucune répartition prévue.
Woluwe-Saint-Lambert : panneaux divisés en 12 : 10 espaces pour les partis au pouvoir et 2 pour TOUTES les autres listes ... sur lesquelles les grands partis (PS, MR et cdH) collent et surcollent sans retenue au grand dam des petits partis. Cela malgré la promesse du maïeur local de répartir les panneaux de manière équitable, "ainsi que le stipule d'ailleurs la loi", avait-il affirmé alors que je le questionnais à ce propos !
Evere : prime du mérite démocratique et écologique : les panneaux sont de grandeur raisonnable, la répartition entre petits et grands est égale, non discriminatoire, et la commune se charge de décoller ceux qui ne sont pas sur leur emplacement, pas trop de danger de surcollage et donc pas de gaspillage inutile ! BRAVO Evere !
Mais bon, ce qui compte, c'est que tous ces partis reprennent le credo d'Al Gore en choeur et, pour respecter Kyoto, ils achèteront bien quelques droits de polluer, car ils doivent "à tout prix" dépenser chacun 1 million d'euros pour afficher, coller et surcoller à qui mieux mieux !
Avant de faire la leçon à d'autres pays du globe, voyons d'abord si les partis actuellement au Parlement oeuvrent vraiment pour plus de démocratie ...
Edifiant !
Non contents de ne pas devoir récolter un nombre important de signatures (+ de 5000)pour la présentation de leurs propres listes, après avoir imposé un seuil de 5% minimum pour stopper la concurrence, après s'être adjugé une manne de 1 million d'euros par parti sortant rien que pour payer leur campagne (affiches, location de véhicules, mettings, courriers à tous les électeurs, ...), jusqu'au niveau local (communal) c'est la loi du plus fort qui est en vigueur. Une loi qui ne figure pas au Moniteur, mais qui se pratique en toute impunité, en toute illégalité !
Tous égaux devant la loi ?! Où avez-vous lu cela ? Non, mais il ne faut pas rêver, tout de même ! La démocratie n'est pas de ce monde, et puis, comparé aux autres Etats de la planète, nous ne sommes quand même pas à plaindre, non ?!
Lois anti-discriminations, égalités des chances, démocratie figurent en bonne place dans les programmes de la bande des quatres. Mythe ou réalité ?
Vécu aujourd'hui. Dépôt d'affiches dans les communes où ce n'est pas la loi de la jungle (où chaque parti peut coller lui-même), mais où c'est le pouvoir installé qui fait SA loi.
Uccle : chaque panneau est divisé en 11 parts égales : 10 pour les 10 grandes listes et 1 pour TOUTES les autres listes (actuellement ce dernier est divisé en 4 !).
Woluwe-Saint-Pierre : là, le Collège a décidé que la priorité sur les panneaux allait aux listes présentes au sein du Conseil communal de la commune. C'est la commune qui affiche, donc pas de souci, la règle LOCALE sera strictement respectée !
Bruxelles-Ville : leur convention stipule que la commune, qui s'arroge le droit d'afficher elle seule aussi sur ses panneaux, ne fera que trois panneaux maximum par jour ! A ce rythme, on sera vite au 10 juin, sans avoir fait le tour complet pour les plus petites listes qui n'ont reçu leur numéro de liste que bien après les grandes listes !
Etterbeek : les panneaux sont à disposition de ceux qui peuvent coller le plus et le plus vite possible (c'est-à-dire ceux qui ont reçu 1 million d'euros à dépenser), il n'y a aucune répartition prévue.
Woluwe-Saint-Lambert : panneaux divisés en 12 : 10 espaces pour les partis au pouvoir et 2 pour TOUTES les autres listes ... sur lesquelles les grands partis (PS, MR et cdH) collent et surcollent sans retenue au grand dam des petits partis. Cela malgré la promesse du maïeur local de répartir les panneaux de manière équitable, "ainsi que le stipule d'ailleurs la loi", avait-il affirmé alors que je le questionnais à ce propos !
Evere : prime du mérite démocratique et écologique : les panneaux sont de grandeur raisonnable, la répartition entre petits et grands est égale, non discriminatoire, et la commune se charge de décoller ceux qui ne sont pas sur leur emplacement, pas trop de danger de surcollage et donc pas de gaspillage inutile ! BRAVO Evere !
Mais bon, ce qui compte, c'est que tous ces partis reprennent le credo d'Al Gore en choeur et, pour respecter Kyoto, ils achèteront bien quelques droits de polluer, car ils doivent "à tout prix" dépenser chacun 1 million d'euros pour afficher, coller et surcoller à qui mieux mieux !
lundi, mai 28, 2007
RTL ouvre ses ondes au CDF !
Mardi 15 mai 08h10 à 08h20 : Mint, la radio pop rock. Grand Oral avec Pierre-Alexandre de Maere d’Aertrycke
Vendredi 25 mai 07h50 à 08h00 : Bel RTL : Pierre-Alexandre de Maere d’Aertrycke, le président des Chrétiens Démocrates Fédéraux sera l'Invité de Kathryn BRAHY
Pour écouter l'émission :
http://belrtl.alinfini.be/index.php?option=com_vpl_audioplayer&task=play&mmo=21546
Dimanche 3 juin 11h55 à 12h55 : Controverse sera également consacrée aux élections. Pascal Vrebos recevra les petits partis, dont le CDF avec Pierre-Alexandre de Maere d'Aertrycke, et les grandes stars "people" du PS, MR et cdH.
Vendredi 25 mai 07h50 à 08h00 : Bel RTL : Pierre-Alexandre de Maere d’Aertrycke, le président des Chrétiens Démocrates Fédéraux sera l'Invité de Kathryn BRAHY
Pour écouter l'émission :
http://belrtl.alinfini.be/index.php?option=com_vpl_audioplayer&task=play&mmo=21546
Dimanche 3 juin 11h55 à 12h55 : Controverse sera également consacrée aux élections. Pascal Vrebos recevra les petits partis, dont le CDF avec Pierre-Alexandre de Maere d'Aertrycke, et les grandes stars "people" du PS, MR et cdH.
jeudi, mai 03, 2007
Election 2007 : le 10 juin, le CDF se présente !
Le 10 juin 2007, nous avons rendez-vous !
Le CDF, nouvellement rebaptisé "Chrétiens Démocrates Fédéraux", à la place de "Chrétiens Démocrates Francophones" se présentera aux suffrages des citoyens dans toutes les circonscriptions électorales de Bruxelles et de Wallonie.
A Bruxelles, le CDF présente une liste menée par Pierre-Alexandre de Maere d'Aertrycke. Il y aura donc bien une liste CDF indépendante, ce qui aura le mérite d'être tout à fait clair pour l'électeur.
Au départ, une place d'ouverture pour un représentant du CDF avait été négociée et acceptée par la tête de liste MR pour la Chambre à Bruxelles. Cela avait été dévolu au président du CDF, Pierre-Alexandre de Maere d'Aertrycke, de commun accord et déjà signé. Il s'agissait d'une ouverture et d'un accord où les deux parties pouvaient être complémentaires et gagnantes.
Benoît Veldekens ne l'a pas entendu de cette manière, non content de voir le CDF présenter également une liste au Sénat, et a convaincu Olivier Maingain de le prendre à ma place, se mettant en porte à faux par rapport au Comité exécutif du CDF, par rapport à ce qui avait été convenu entre nous et s'excluant donc de facto du CDF.
Le CDF est donc toujours bien présent sur la scène politique et entend le rester, n'en déplaise à ceux qui le voyaient entrer au MR ou ailleurs, d'une façon ou d'une autre. Notre formation garde toutes ses raisons d'être.
En Wallonie d'ailleurs aussi, chaque province verra l'établissement d'une liste CDF indépendante, où il s'agira de rassembler un maximum de suffrages, pour donner du poids aux valeurs universelles d'inspiration chrétienne que le CDF défend courageusement et ouvertement pour le bien commun, le bien de tous !
La balle est dans le camp de l'électeur ! A lui de discerner et d'OSER CHOISIR, sur base de ses convictions profondes, afin que la politique soit davantage au service des citoyens !
Voir aussi le site du CDF : www.cdf-info.be
Le CDF, nouvellement rebaptisé "Chrétiens Démocrates Fédéraux", à la place de "Chrétiens Démocrates Francophones" se présentera aux suffrages des citoyens dans toutes les circonscriptions électorales de Bruxelles et de Wallonie.
A Bruxelles, le CDF présente une liste menée par Pierre-Alexandre de Maere d'Aertrycke. Il y aura donc bien une liste CDF indépendante, ce qui aura le mérite d'être tout à fait clair pour l'électeur.
Au départ, une place d'ouverture pour un représentant du CDF avait été négociée et acceptée par la tête de liste MR pour la Chambre à Bruxelles. Cela avait été dévolu au président du CDF, Pierre-Alexandre de Maere d'Aertrycke, de commun accord et déjà signé. Il s'agissait d'une ouverture et d'un accord où les deux parties pouvaient être complémentaires et gagnantes.
Benoît Veldekens ne l'a pas entendu de cette manière, non content de voir le CDF présenter également une liste au Sénat, et a convaincu Olivier Maingain de le prendre à ma place, se mettant en porte à faux par rapport au Comité exécutif du CDF, par rapport à ce qui avait été convenu entre nous et s'excluant donc de facto du CDF.
Le CDF est donc toujours bien présent sur la scène politique et entend le rester, n'en déplaise à ceux qui le voyaient entrer au MR ou ailleurs, d'une façon ou d'une autre. Notre formation garde toutes ses raisons d'être.
En Wallonie d'ailleurs aussi, chaque province verra l'établissement d'une liste CDF indépendante, où il s'agira de rassembler un maximum de suffrages, pour donner du poids aux valeurs universelles d'inspiration chrétienne que le CDF défend courageusement et ouvertement pour le bien commun, le bien de tous !
La balle est dans le camp de l'électeur ! A lui de discerner et d'OSER CHOISIR, sur base de ses convictions profondes, afin que la politique soit davantage au service des citoyens !
Voir aussi le site du CDF : www.cdf-info.be
lundi, avril 23, 2007
5 mai 2007 : Congrès pour la famille
Entrée libre !
Voici le programme du Congrès du 5 mai d'Action pour la Famille, auquel nous vous invitons à assister le plus nombreux possible, afin d'interpeller opinion publique, monde politique et médiatique :
"Et la famille dans tout ça ?
"Et la famille dans tout ça ?
Quelle politique familiale pour 2007-2011 ?"
(nul besoin de rester toute la journée: on peut assister à tout ou à l’événement de son choix…)
9 : 30 : Accueil des participants.
10 : 00 : Introduction. Kris Vleugels, Pierre-Alexandre de Maere
10 : 10 : Conférences parallèles
(nul besoin de rester toute la journée: on peut assister à tout ou à l’événement de son choix…)
9 : 30 : Accueil des participants.
10 : 00 : Introduction. Kris Vleugels, Pierre-Alexandre de Maere
10 : 10 : Conférences parallèles
Elizabeth Montfort (ex-députée européenne ; présidente Femina Europe) « La famille a-t-elle encore un avenir ? »Dr. André Devos “Medisch begeleide voortplanting en Fertility management".
10 : 40 : Conférences parallèles
10 : 40 : Conférences parallèles
Ignace Verhack (Filosoof KULeuven) « Het gezin, plaats van waarheid » Jean-Yves Hayez (pédopsychiatre UCL) « L’enfant, la séparation de ses parents et les restructurations familiales qui s’ensuivent »
11 : 20 : Interruption
11 : 40 : Table ronde «Welke gezinspolitiek voor 2007-2011 ? Quelle politique familiale pour 2007-2011 ? » Animateur Marc-Antoine Mathijsen
11 : 20 : Interruption
11 : 40 : Table ronde «Welke gezinspolitiek voor 2007-2011 ? Quelle politique familiale pour 2007-2011 ? » Animateur Marc-Antoine Mathijsen
Participants :François Bellot (Député MR)Eddy Lagae (Professor economie - moraal - politieke en sociale theorieën)Marie-Christine Marghem (Députée MCC-MR)Clotilde Nyssens (Sénatrice CDH)Dominique Tilmans (Députée MR)Mark Verhaegen (Kamerlid CD&V)Melchior Wathelet (Député CdH)
12 : 40 : Interruption
14 : 00 : Animation interactive-spectacle
12 : 40 : Interruption
14 : 00 : Animation interactive-spectacle
Pie Tshibanda (psychologue, humoriste) "Ce n’est pas sorcier",Jo De Rijck (cabaretier) "Tijger ontsnapt"
14 : 45 : Ateliers
14 : 45 : Ateliers
-Procréation médicalement assistée – Medisch begeleide voortplanting : Carine Brochier (Institut Européen de Bioéthique), Vincent Kemme
-Comment concilier la vie familiale avec le travail ? : Françoise de Bellefroid (Mouvement mondial des mères),
-Comment inscrire le projet familial dans la durée ? : Aline Everard (Femmes et foyer)
-Education affective et sexuelle des jeunes : Bénédicte De Wagter (Respect Youth Love)
15 : 30 : Interruption
15 : 50 : Yacob Mahi (professeur de religion islamique) « La famille : espace d’équilibre et noyau de tendresse »
15 : 30 : Interruption
15 : 50 : Yacob Mahi (professeur de religion islamique) « La famille : espace d’équilibre et noyau de tendresse »
16 : 10 : Daniel Rivaud (pasteur, Délégué général du Comité Protestant évangélique pour la Dignité Humaine) « Choix d'aujourd'hui, famille de demain »
16 : 30 Eric de Beukelaer (abbé) « Het gezin : een wereldlijke waarde - La famille : une valeur laïque »
17 : 00 : Clôture : Michel Ghins
Restauration et accueil des enfants prévus.
Informations complémentaires sur http://www.actiegezin-actionfamille.be/
Le Congrès d'Action pour la famille rassemblera néanmoins nombre d'associations, de professionnels ou de représentants de mouvements et de partis politiques démocratiques, de confessions religieuses ou d'autres personnes engagées.
Restauration et accueil des enfants prévus.
Informations complémentaires sur http://www.actiegezin-actionfamille.be/
Le Congrès d'Action pour la famille rassemblera néanmoins nombre d'associations, de professionnels ou de représentants de mouvements et de partis politiques démocratiques, de confessions religieuses ou d'autres personnes engagées.
Libellés :
5 mai,
action pour la famille,
congrès,
famille
mercredi, mars 21, 2007
Les tambours pour la paix
"La violence commence où la parole s’arrête."
Marek Halter
En famille, à l’école, entre copains, dans la rue, …pars à la chasse des mots qui provoquent la violence, qui construisent la paix.
Avec ces mots et tous ceux qui font battre ton cœur, Ecris-nous un poème. Ton poème doit être un cri pour construire un monde sans violence.
Et pour que ton cri rejoigne ceux de milliers d’enfants dans le monde, au même moment, sur les places publiques de ton village ou de ta ville, avec tes professeurs, tes parents, tes amis.
Le 21 mars 2007 de 11h30 à 12h Va battre Tambours pour la paix !
C'était le thème de cette journée, où des milliers d'enfants ont battu tambours pour la paix.
Plusieurs d'entre eux, lauréats du concours de poésie, ont été invités au Parlement européen, où ils ont rencontré Moussia Haulot, Présidente et initiatrice de cette action. Elle s'est interrogée devant nous tous, enfants et adultes, sur la violence de plus en plus présente dans les écoles, parmi les jeunes. Remarquant que trop peu d'attention était portée par les adultes sur les causes de cette violence. Elle souligna que trop peu d'espace, sans doute, était réservé aux enfants, aux jeunes désireux de pouvoir s'exprimer.
Reçus dans le bâtiment Paul-Henri Spaak, les enfants ont également pu poser quelques questions à Antoinette Spaak sur l'Europe, qui fête dans quatre jours le 50 ème anniversaire du Traité de Rome.
http://www.drumsforpeace.org/fr/philosophie.htm
Marek Halter
En famille, à l’école, entre copains, dans la rue, …pars à la chasse des mots qui provoquent la violence, qui construisent la paix.
Avec ces mots et tous ceux qui font battre ton cœur, Ecris-nous un poème. Ton poème doit être un cri pour construire un monde sans violence.
Et pour que ton cri rejoigne ceux de milliers d’enfants dans le monde, au même moment, sur les places publiques de ton village ou de ta ville, avec tes professeurs, tes parents, tes amis.
Le 21 mars 2007 de 11h30 à 12h Va battre Tambours pour la paix !
C'était le thème de cette journée, où des milliers d'enfants ont battu tambours pour la paix.
Plusieurs d'entre eux, lauréats du concours de poésie, ont été invités au Parlement européen, où ils ont rencontré Moussia Haulot, Présidente et initiatrice de cette action. Elle s'est interrogée devant nous tous, enfants et adultes, sur la violence de plus en plus présente dans les écoles, parmi les jeunes. Remarquant que trop peu d'attention était portée par les adultes sur les causes de cette violence. Elle souligna que trop peu d'espace, sans doute, était réservé aux enfants, aux jeunes désireux de pouvoir s'exprimer.
Reçus dans le bâtiment Paul-Henri Spaak, les enfants ont également pu poser quelques questions à Antoinette Spaak sur l'Europe, qui fête dans quatre jours le 50 ème anniversaire du Traité de Rome.
http://www.drumsforpeace.org/fr/philosophie.htm
jeudi, mars 15, 2007
Rudy Aernoudt présent au Congrès du CDF
Flash de dernière minute ! Flash de dernière minute ! Flash de dernière minute !
Rudy Aernoudt, l'actuel Secrétaire général de l'administration de l'Economie, des Sciences et de l'Innovation en Flandre, Flamand et ancien chef de cabinet du Ministre wallon Kubla, ayant fait une escale au gouvernement fédéral et actif au niveau européen, sera présent et prendra la parole au Congrès du CDF de ce samedi 17 mars 2007.
Rudy Aernoudt a récemment publié « Wallonie-Flandre. Je t’aime moi non plus – Antimanifeste sur les relations entre les Flamands et les Wallons ». Son livre est entré dans le Top 5 des meilleures ventes en Flandre ! Il appelle à une collaboration interrégionale et, battant en brêche les clichés, arrive à la conclusion que les Flamands et les Wallons ne sont pas bien différents.
Invitation à tous pour cette rencontre et cette présentation exceptionnelle !
A diffuser largement !
Programme du Congrès du CDF :
09h00 : accueil
09h30 : AG pour les membres - Rencontre avec Action pour la Famille pour les non membres
10h30 : pause
11h00 : Congrès : 2 orateurs-invités : Olivier Lendo (St-Vincent de Paul) et Rudy Aernoudt (« Wallonie-Flandre. Je t’aime moi non plus »)
12h00 : le CDF, relance et chantiers
12h30 : verre de l’amitié
Adresse du jour :
l'EPHEC
auditoire A01 Avenue. K. Adenauer 3
Woluwe-Saint-Lambert (1200 Bruxelles)
Métro Vandervelde.
mercredi, mars 14, 2007
DIGNITE DE L’ENFANT ET TECHNIQUE MEDICALE - Déclaration des évêques de Belgique
A l'occasion du vote au Sénat sur le projet de loi traitant de la procréation médicalement assistée (PMA), la Conférence épiscopale avait adressé le communiqué suivant.
Ils le diffusent à nouveau, avant que le projet ne passe cette fois le cap de la Chambre (à l'agenda de ce jeudi 15 mars 2007). Une prise de position courageuse, où peuvent se retrouver tous ceux qui sont attachés à la dignité de la personne, principalement du plus petit.
Sur Cathobel : http://www.cathobel.be/files/s2/PDF/07%2003%2013%20declaration%20des%20évêques%20-%20dignité%20de%20l'enfant%20-%20rappel%20(2).pdf
DIGNITE DE L’ENFANT ET TECHNIQUE MEDICALE
Déclaration des évêques de Belgique
C’est sans grands débats de société que s’apprête à être votée au Sénat une proposition de loi sur la procréation médicalement assistée. Il s’agit – selon ses promoteurs – de baliser «une évolution scientifique fascinante et inéluctable».
La proposition de loi en question se centre sur le désir de progéniture de ceux qui sont appelés les « auteurs d’unprojet parental». Cette notion vise tous les couples, mariés ou non, hétérosexuels ou lesbiens, ainsi que les femmes seules.
Pour répondre au projet parental de ces personnes, le législateur propose d’autoriser le don anonyme d’embryons et de gamètes afin d’encourager les donneurs potentiels. Les embryons seront réimplantés chez la mère porteuse en tenant compte de divers critères d’appariement. En outre, la proposition de loi rend possible l’insémination d’une femme avec le sperme d’un homme défunt. Elle autorise également le diagnostic pré-implantatoire, afin de sélectionner les embryons «sains» avant de les réimplanter. Enfin, elle ouvre la porte à ce qu’on appelle le «bébé-médicament», soit un enfant issu d’un embryon sélectionné de manière telle que les cellules de son cordon ombilical soient susceptibles de soigner un frère ou une sœur.
Beaucoup soutiennent cette proposition de loi: «La technique médicale le permet et cela peut aider des gens, alors pourquoi hésiter?» Nous répondons que tout ce qui est techniquement possible et qui constitue un progrès médical, n’en devient pas pour autant moralement souhaitable. La science déplace chaque jour les limites de la médecine. Il faut s’en réjouir, car cela offre de nouvelles possibilités thérapeutiques qui évitent aux hommes des souffrances ou offrent un confort de vie. Mais une frontière morale invisible existe devant laquelle le progrès technologique doit s’incliner: la dignité de l’homme. A chaque fois que le statut inaliénable de l’humain est en jeu, tout savoir-faire doit reconnaître son maître. Sans quoi, l’homme devient vite – et sans trop s’en rendre compte – instrumentalisé par le fruit de son génie.
Le souhait d’avoir un enfant est beau et légitime. Cependant, pareil désir doit céder le pas devant un impératif plus grand encore: la dignité de la personne à naître. Dans cette proposition de loi, l’embryon n’est pas considéré comme une fin en soi. Il est traité comme un moyen destiné à combler le désir d’enfant. Qu’importe que cet enfant «fabriqué» par la science soit un orphelin biologique? Il s’agit avant tout qu’il corresponde au mieux au projet parental à géométrie variable de son ou ses parents légaux.
Quitte à ramer une fois de plus à contre-courant des évolutions sociales, nous n’adhérons pas à pareille logique. Selon nous, c’est la dignité de l’enfant à naître qui doit primer. Le droit de l’enfant est infiniment supérieur – même avant sa naissance – au droit à l’enfant.
Les Evêques de Belgique
Ils le diffusent à nouveau, avant que le projet ne passe cette fois le cap de la Chambre (à l'agenda de ce jeudi 15 mars 2007). Une prise de position courageuse, où peuvent se retrouver tous ceux qui sont attachés à la dignité de la personne, principalement du plus petit.
Sur Cathobel : http://www.cathobel.be/files/s2/PDF/07%2003%2013%20declaration%20des%20évêques%20-%20dignité%20de%20l'enfant%20-%20rappel%20(2).pdf
DIGNITE DE L’ENFANT ET TECHNIQUE MEDICALE
Déclaration des évêques de Belgique
C’est sans grands débats de société que s’apprête à être votée au Sénat une proposition de loi sur la procréation médicalement assistée. Il s’agit – selon ses promoteurs – de baliser «une évolution scientifique fascinante et inéluctable».
La proposition de loi en question se centre sur le désir de progéniture de ceux qui sont appelés les « auteurs d’unprojet parental». Cette notion vise tous les couples, mariés ou non, hétérosexuels ou lesbiens, ainsi que les femmes seules.
Pour répondre au projet parental de ces personnes, le législateur propose d’autoriser le don anonyme d’embryons et de gamètes afin d’encourager les donneurs potentiels. Les embryons seront réimplantés chez la mère porteuse en tenant compte de divers critères d’appariement. En outre, la proposition de loi rend possible l’insémination d’une femme avec le sperme d’un homme défunt. Elle autorise également le diagnostic pré-implantatoire, afin de sélectionner les embryons «sains» avant de les réimplanter. Enfin, elle ouvre la porte à ce qu’on appelle le «bébé-médicament», soit un enfant issu d’un embryon sélectionné de manière telle que les cellules de son cordon ombilical soient susceptibles de soigner un frère ou une sœur.
Beaucoup soutiennent cette proposition de loi: «La technique médicale le permet et cela peut aider des gens, alors pourquoi hésiter?» Nous répondons que tout ce qui est techniquement possible et qui constitue un progrès médical, n’en devient pas pour autant moralement souhaitable. La science déplace chaque jour les limites de la médecine. Il faut s’en réjouir, car cela offre de nouvelles possibilités thérapeutiques qui évitent aux hommes des souffrances ou offrent un confort de vie. Mais une frontière morale invisible existe devant laquelle le progrès technologique doit s’incliner: la dignité de l’homme. A chaque fois que le statut inaliénable de l’humain est en jeu, tout savoir-faire doit reconnaître son maître. Sans quoi, l’homme devient vite – et sans trop s’en rendre compte – instrumentalisé par le fruit de son génie.
Le souhait d’avoir un enfant est beau et légitime. Cependant, pareil désir doit céder le pas devant un impératif plus grand encore: la dignité de la personne à naître. Dans cette proposition de loi, l’embryon n’est pas considéré comme une fin en soi. Il est traité comme un moyen destiné à combler le désir d’enfant. Qu’importe que cet enfant «fabriqué» par la science soit un orphelin biologique? Il s’agit avant tout qu’il corresponde au mieux au projet parental à géométrie variable de son ou ses parents légaux.
Quitte à ramer une fois de plus à contre-courant des évolutions sociales, nous n’adhérons pas à pareille logique. Selon nous, c’est la dignité de l’enfant à naître qui doit primer. Le droit de l’enfant est infiniment supérieur – même avant sa naissance – au droit à l’enfant.
Les Evêques de Belgique
vendredi, mars 09, 2007
« Article 24 de la Constitution », … c’est le comble !
Voilà que le cdH et le PS semblent se souvenir de l'existence de l'article 24 de la Constitution, une semaine à peine après avoir voté le décret "Inscriptions", qui leur a valu une volée de bois verts de la part de milliers de parents et de directions d'écoles se plaignant que les promoteurs de ce décret violaient justement ce même article.
Aujourd'hui, PS et cdH s'offusquent de la volonté du Ministre de l'Enseignement flamand d'exiger que les parents d'enfants suivant les cours dans les écoles de la Communauté flamande connaissent ou suivent des cours pour apprendre le néerlandais. Les enfants devraient aussi ne pouvoir avoir accès à la première année primaire que s'ils ont au moins suivi un an de maternelle en néerlandais.
Cette volonté flamande violerait l'article 24 de la Constitution, celle de la liberté de l’enseignement et donc du libre choix des parents, selon certains politiques francophones, dont les premiers à avoir réagi sont cdH et PS !
S'il y a bien deux partis qui n'ont à faire aucune leçon sur ce plan-là, ce sont bien le PS et le cdH ! Il est un peu facile d’exiger des autres de suivre des règles que l’on ne s’applique pas à soi-même ! L’électeur saura discerner et s’en souviendra au moment opportun.
Si l’on peut espérer des mesures souples et non contraignantes, favorisant l’apprentissage des langues de la part de toutes les communautés, il faut reconnaître que c’est le niveau de connaissance de la langue, - chez les élèves et dans leur entourage proche -, dans laquelle les cours sont enseignés qui fera le niveau de qualité de l’enseignement. Cela, les Flamands l’ont bien compris. Et ils sont prêts à mettre les moyens humains et financiers là où c’est le plus nécessaire pour atteindre cet objectif.
Le PS et le cdH, en votant le décret « Inscriptions », se sont par contre placés sur un plan beaucoup plus idéologique, naviguant sur le thème de la mixité sociale, stigmatisant et confrontant les « nantis » et les « défavorisés », digne de la lutte des classes de la fin du 19 ème siècle. Au dépend de la qualité de l’enseignement et donc des enfants. Or, on sait parfaitement que si des enfants ne sont pas suivis par leurs parents, car ceux-ci éprouvent des difficultés au niveau de la langue et se tiennent par conséquent à l’écart de l’école, les résultats auprès de ces enfants s’en feront durement ressentir.
Aujourd'hui, PS et cdH s'offusquent de la volonté du Ministre de l'Enseignement flamand d'exiger que les parents d'enfants suivant les cours dans les écoles de la Communauté flamande connaissent ou suivent des cours pour apprendre le néerlandais. Les enfants devraient aussi ne pouvoir avoir accès à la première année primaire que s'ils ont au moins suivi un an de maternelle en néerlandais.
Cette volonté flamande violerait l'article 24 de la Constitution, celle de la liberté de l’enseignement et donc du libre choix des parents, selon certains politiques francophones, dont les premiers à avoir réagi sont cdH et PS !
S'il y a bien deux partis qui n'ont à faire aucune leçon sur ce plan-là, ce sont bien le PS et le cdH ! Il est un peu facile d’exiger des autres de suivre des règles que l’on ne s’applique pas à soi-même ! L’électeur saura discerner et s’en souviendra au moment opportun.
Si l’on peut espérer des mesures souples et non contraignantes, favorisant l’apprentissage des langues de la part de toutes les communautés, il faut reconnaître que c’est le niveau de connaissance de la langue, - chez les élèves et dans leur entourage proche -, dans laquelle les cours sont enseignés qui fera le niveau de qualité de l’enseignement. Cela, les Flamands l’ont bien compris. Et ils sont prêts à mettre les moyens humains et financiers là où c’est le plus nécessaire pour atteindre cet objectif.
Le PS et le cdH, en votant le décret « Inscriptions », se sont par contre placés sur un plan beaucoup plus idéologique, naviguant sur le thème de la mixité sociale, stigmatisant et confrontant les « nantis » et les « défavorisés », digne de la lutte des classes de la fin du 19 ème siècle. Au dépend de la qualité de l’enseignement et donc des enfants. Or, on sait parfaitement que si des enfants ne sont pas suivis par leurs parents, car ceux-ci éprouvent des difficultés au niveau de la langue et se tiennent par conséquent à l’écart de l’école, les résultats auprès de ces enfants s’en feront durement ressentir.
dimanche, mars 04, 2007
Votez CDF !
Pourquoi pensez-vous que quelques courageux aient eu l'audace de lancer un nouveau parti lorsque le PSC est devenu cdH ?
Par nostalgie ? Conservateurs déçus ? Rien de tout cela, mais parce que lors des dernières années du PSC déjà, il devenait de plus en plus clair que ce parti abandonnait progressivement le projet politique qui était le sien, la défense ou la promotion des valeurs qui faisaient sa spécificité, sa force, car les citoyens y reconnaissaient là des valeurs universelles, utiles, nécessaires à une vie en société épanouisante et respectueuse de tous.
La famille, la vie, la liberté responsable, aujourd'hui la liberté de l'enseignement, - qu'il soit officiel ou subsidié -, et demain ...
Vous voulez voter pour un parti qui est petit, certes, mais indépendant et donc qui exerce un véritable pouvoir d'influence sur les grands partis, qui ont peur de perdre quelques plumes aux élections ? Le CDF s'exprime librement, hors de toute pression, il émet simplement, mais avec conviction, ce qu'il juge être de simple bon sens, en vue du bien commun.
Voter pour le CDF est loin d'être un vote inutile ! Ce parti l'a déjà prouvé, notamment aux dernières communales, où, devenu crédible et fréquentable, il a été courtisé par des sections locales autant cdh, MR que socialistes, et est rentré dans l'une ou l'autre majorité, sans rien abandonner de sa spécificité et de ses priorités !
Ce combat pour la liberté de l'enseignement, du libre choix des parents, le CDF l'a mené pleinement aussi, à la suite de ces quelques mamans, de ces profs, de ses directeurs, il a interpellé les députés de tous les partis démocratiques !
Cette liberté de l'enseignement, de libre choix est NON NEGOCIABLE ! Voter pour un parti comme le CDF, après un tel débat de société, c'est lancer un réel avertissement à tous les partis politiques, les prévenir qu'il est des droits fondamentaux qui ne peuvent faire l'objet de marchandages idéologiques ou particratiques !
Les élections sont proches, c'est l'électeur qui a désormais les cartes en mains !
http://www.lalibre.be/forum.phtml?id=10&f_id=757#message22
Par nostalgie ? Conservateurs déçus ? Rien de tout cela, mais parce que lors des dernières années du PSC déjà, il devenait de plus en plus clair que ce parti abandonnait progressivement le projet politique qui était le sien, la défense ou la promotion des valeurs qui faisaient sa spécificité, sa force, car les citoyens y reconnaissaient là des valeurs universelles, utiles, nécessaires à une vie en société épanouisante et respectueuse de tous.
La famille, la vie, la liberté responsable, aujourd'hui la liberté de l'enseignement, - qu'il soit officiel ou subsidié -, et demain ...
Vous voulez voter pour un parti qui est petit, certes, mais indépendant et donc qui exerce un véritable pouvoir d'influence sur les grands partis, qui ont peur de perdre quelques plumes aux élections ? Le CDF s'exprime librement, hors de toute pression, il émet simplement, mais avec conviction, ce qu'il juge être de simple bon sens, en vue du bien commun.
Voter pour le CDF est loin d'être un vote inutile ! Ce parti l'a déjà prouvé, notamment aux dernières communales, où, devenu crédible et fréquentable, il a été courtisé par des sections locales autant cdh, MR que socialistes, et est rentré dans l'une ou l'autre majorité, sans rien abandonner de sa spécificité et de ses priorités !
Ce combat pour la liberté de l'enseignement, du libre choix des parents, le CDF l'a mené pleinement aussi, à la suite de ces quelques mamans, de ces profs, de ses directeurs, il a interpellé les députés de tous les partis démocratiques !
Cette liberté de l'enseignement, de libre choix est NON NEGOCIABLE ! Voter pour un parti comme le CDF, après un tel débat de société, c'est lancer un réel avertissement à tous les partis politiques, les prévenir qu'il est des droits fondamentaux qui ne peuvent faire l'objet de marchandages idéologiques ou particratiques !
Les élections sont proches, c'est l'électeur qui a désormais les cartes en mains !
http://www.lalibre.be/forum.phtml?id=10&f_id=757#message22
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