"La violence commence où la parole s’arrête."
Marek Halter
En famille, à l’école, entre copains, dans la rue, …pars à la chasse des mots qui provoquent la violence, qui construisent la paix.
Avec ces mots et tous ceux qui font battre ton cœur, Ecris-nous un poème. Ton poème doit être un cri pour construire un monde sans violence.
Et pour que ton cri rejoigne ceux de milliers d’enfants dans le monde, au même moment, sur les places publiques de ton village ou de ta ville, avec tes professeurs, tes parents, tes amis.
Le 21 mars 2007 de 11h30 à 12h Va battre Tambours pour la paix !
C'était le thème de cette journée, où des milliers d'enfants ont battu tambours pour la paix.
Plusieurs d'entre eux, lauréats du concours de poésie, ont été invités au Parlement européen, où ils ont rencontré Moussia Haulot, Présidente et initiatrice de cette action. Elle s'est interrogée devant nous tous, enfants et adultes, sur la violence de plus en plus présente dans les écoles, parmi les jeunes. Remarquant que trop peu d'attention était portée par les adultes sur les causes de cette violence. Elle souligna que trop peu d'espace, sans doute, était réservé aux enfants, aux jeunes désireux de pouvoir s'exprimer.
Reçus dans le bâtiment Paul-Henri Spaak, les enfants ont également pu poser quelques questions à Antoinette Spaak sur l'Europe, qui fête dans quatre jours le 50 ème anniversaire du Traité de Rome.
http://www.drumsforpeace.org/fr/philosophie.htm
mercredi, mars 21, 2007
jeudi, mars 15, 2007
Rudy Aernoudt présent au Congrès du CDF
Flash de dernière minute ! Flash de dernière minute ! Flash de dernière minute !
Rudy Aernoudt, l'actuel Secrétaire général de l'administration de l'Economie, des Sciences et de l'Innovation en Flandre, Flamand et ancien chef de cabinet du Ministre wallon Kubla, ayant fait une escale au gouvernement fédéral et actif au niveau européen, sera présent et prendra la parole au Congrès du CDF de ce samedi 17 mars 2007.
Rudy Aernoudt a récemment publié « Wallonie-Flandre. Je t’aime moi non plus – Antimanifeste sur les relations entre les Flamands et les Wallons ». Son livre est entré dans le Top 5 des meilleures ventes en Flandre ! Il appelle à une collaboration interrégionale et, battant en brêche les clichés, arrive à la conclusion que les Flamands et les Wallons ne sont pas bien différents.
Invitation à tous pour cette rencontre et cette présentation exceptionnelle !
A diffuser largement !
Programme du Congrès du CDF :
09h00 : accueil
09h30 : AG pour les membres - Rencontre avec Action pour la Famille pour les non membres
10h30 : pause
11h00 : Congrès : 2 orateurs-invités : Olivier Lendo (St-Vincent de Paul) et Rudy Aernoudt (« Wallonie-Flandre. Je t’aime moi non plus »)
12h00 : le CDF, relance et chantiers
12h30 : verre de l’amitié
Adresse du jour :
l'EPHEC
auditoire A01 Avenue. K. Adenauer 3
Woluwe-Saint-Lambert (1200 Bruxelles)
Métro Vandervelde.
mercredi, mars 14, 2007
DIGNITE DE L’ENFANT ET TECHNIQUE MEDICALE - Déclaration des évêques de Belgique
A l'occasion du vote au Sénat sur le projet de loi traitant de la procréation médicalement assistée (PMA), la Conférence épiscopale avait adressé le communiqué suivant.
Ils le diffusent à nouveau, avant que le projet ne passe cette fois le cap de la Chambre (à l'agenda de ce jeudi 15 mars 2007). Une prise de position courageuse, où peuvent se retrouver tous ceux qui sont attachés à la dignité de la personne, principalement du plus petit.
Sur Cathobel : http://www.cathobel.be/files/s2/PDF/07%2003%2013%20declaration%20des%20évêques%20-%20dignité%20de%20l'enfant%20-%20rappel%20(2).pdf
DIGNITE DE L’ENFANT ET TECHNIQUE MEDICALE
Déclaration des évêques de Belgique
C’est sans grands débats de société que s’apprête à être votée au Sénat une proposition de loi sur la procréation médicalement assistée. Il s’agit – selon ses promoteurs – de baliser «une évolution scientifique fascinante et inéluctable».
La proposition de loi en question se centre sur le désir de progéniture de ceux qui sont appelés les « auteurs d’unprojet parental». Cette notion vise tous les couples, mariés ou non, hétérosexuels ou lesbiens, ainsi que les femmes seules.
Pour répondre au projet parental de ces personnes, le législateur propose d’autoriser le don anonyme d’embryons et de gamètes afin d’encourager les donneurs potentiels. Les embryons seront réimplantés chez la mère porteuse en tenant compte de divers critères d’appariement. En outre, la proposition de loi rend possible l’insémination d’une femme avec le sperme d’un homme défunt. Elle autorise également le diagnostic pré-implantatoire, afin de sélectionner les embryons «sains» avant de les réimplanter. Enfin, elle ouvre la porte à ce qu’on appelle le «bébé-médicament», soit un enfant issu d’un embryon sélectionné de manière telle que les cellules de son cordon ombilical soient susceptibles de soigner un frère ou une sœur.
Beaucoup soutiennent cette proposition de loi: «La technique médicale le permet et cela peut aider des gens, alors pourquoi hésiter?» Nous répondons que tout ce qui est techniquement possible et qui constitue un progrès médical, n’en devient pas pour autant moralement souhaitable. La science déplace chaque jour les limites de la médecine. Il faut s’en réjouir, car cela offre de nouvelles possibilités thérapeutiques qui évitent aux hommes des souffrances ou offrent un confort de vie. Mais une frontière morale invisible existe devant laquelle le progrès technologique doit s’incliner: la dignité de l’homme. A chaque fois que le statut inaliénable de l’humain est en jeu, tout savoir-faire doit reconnaître son maître. Sans quoi, l’homme devient vite – et sans trop s’en rendre compte – instrumentalisé par le fruit de son génie.
Le souhait d’avoir un enfant est beau et légitime. Cependant, pareil désir doit céder le pas devant un impératif plus grand encore: la dignité de la personne à naître. Dans cette proposition de loi, l’embryon n’est pas considéré comme une fin en soi. Il est traité comme un moyen destiné à combler le désir d’enfant. Qu’importe que cet enfant «fabriqué» par la science soit un orphelin biologique? Il s’agit avant tout qu’il corresponde au mieux au projet parental à géométrie variable de son ou ses parents légaux.
Quitte à ramer une fois de plus à contre-courant des évolutions sociales, nous n’adhérons pas à pareille logique. Selon nous, c’est la dignité de l’enfant à naître qui doit primer. Le droit de l’enfant est infiniment supérieur – même avant sa naissance – au droit à l’enfant.
Les Evêques de Belgique
Ils le diffusent à nouveau, avant que le projet ne passe cette fois le cap de la Chambre (à l'agenda de ce jeudi 15 mars 2007). Une prise de position courageuse, où peuvent se retrouver tous ceux qui sont attachés à la dignité de la personne, principalement du plus petit.
Sur Cathobel : http://www.cathobel.be/files/s2/PDF/07%2003%2013%20declaration%20des%20évêques%20-%20dignité%20de%20l'enfant%20-%20rappel%20(2).pdf
DIGNITE DE L’ENFANT ET TECHNIQUE MEDICALE
Déclaration des évêques de Belgique
C’est sans grands débats de société que s’apprête à être votée au Sénat une proposition de loi sur la procréation médicalement assistée. Il s’agit – selon ses promoteurs – de baliser «une évolution scientifique fascinante et inéluctable».
La proposition de loi en question se centre sur le désir de progéniture de ceux qui sont appelés les « auteurs d’unprojet parental». Cette notion vise tous les couples, mariés ou non, hétérosexuels ou lesbiens, ainsi que les femmes seules.
Pour répondre au projet parental de ces personnes, le législateur propose d’autoriser le don anonyme d’embryons et de gamètes afin d’encourager les donneurs potentiels. Les embryons seront réimplantés chez la mère porteuse en tenant compte de divers critères d’appariement. En outre, la proposition de loi rend possible l’insémination d’une femme avec le sperme d’un homme défunt. Elle autorise également le diagnostic pré-implantatoire, afin de sélectionner les embryons «sains» avant de les réimplanter. Enfin, elle ouvre la porte à ce qu’on appelle le «bébé-médicament», soit un enfant issu d’un embryon sélectionné de manière telle que les cellules de son cordon ombilical soient susceptibles de soigner un frère ou une sœur.
Beaucoup soutiennent cette proposition de loi: «La technique médicale le permet et cela peut aider des gens, alors pourquoi hésiter?» Nous répondons que tout ce qui est techniquement possible et qui constitue un progrès médical, n’en devient pas pour autant moralement souhaitable. La science déplace chaque jour les limites de la médecine. Il faut s’en réjouir, car cela offre de nouvelles possibilités thérapeutiques qui évitent aux hommes des souffrances ou offrent un confort de vie. Mais une frontière morale invisible existe devant laquelle le progrès technologique doit s’incliner: la dignité de l’homme. A chaque fois que le statut inaliénable de l’humain est en jeu, tout savoir-faire doit reconnaître son maître. Sans quoi, l’homme devient vite – et sans trop s’en rendre compte – instrumentalisé par le fruit de son génie.
Le souhait d’avoir un enfant est beau et légitime. Cependant, pareil désir doit céder le pas devant un impératif plus grand encore: la dignité de la personne à naître. Dans cette proposition de loi, l’embryon n’est pas considéré comme une fin en soi. Il est traité comme un moyen destiné à combler le désir d’enfant. Qu’importe que cet enfant «fabriqué» par la science soit un orphelin biologique? Il s’agit avant tout qu’il corresponde au mieux au projet parental à géométrie variable de son ou ses parents légaux.
Quitte à ramer une fois de plus à contre-courant des évolutions sociales, nous n’adhérons pas à pareille logique. Selon nous, c’est la dignité de l’enfant à naître qui doit primer. Le droit de l’enfant est infiniment supérieur – même avant sa naissance – au droit à l’enfant.
Les Evêques de Belgique
vendredi, mars 09, 2007
« Article 24 de la Constitution », … c’est le comble !
Voilà que le cdH et le PS semblent se souvenir de l'existence de l'article 24 de la Constitution, une semaine à peine après avoir voté le décret "Inscriptions", qui leur a valu une volée de bois verts de la part de milliers de parents et de directions d'écoles se plaignant que les promoteurs de ce décret violaient justement ce même article.
Aujourd'hui, PS et cdH s'offusquent de la volonté du Ministre de l'Enseignement flamand d'exiger que les parents d'enfants suivant les cours dans les écoles de la Communauté flamande connaissent ou suivent des cours pour apprendre le néerlandais. Les enfants devraient aussi ne pouvoir avoir accès à la première année primaire que s'ils ont au moins suivi un an de maternelle en néerlandais.
Cette volonté flamande violerait l'article 24 de la Constitution, celle de la liberté de l’enseignement et donc du libre choix des parents, selon certains politiques francophones, dont les premiers à avoir réagi sont cdH et PS !
S'il y a bien deux partis qui n'ont à faire aucune leçon sur ce plan-là, ce sont bien le PS et le cdH ! Il est un peu facile d’exiger des autres de suivre des règles que l’on ne s’applique pas à soi-même ! L’électeur saura discerner et s’en souviendra au moment opportun.
Si l’on peut espérer des mesures souples et non contraignantes, favorisant l’apprentissage des langues de la part de toutes les communautés, il faut reconnaître que c’est le niveau de connaissance de la langue, - chez les élèves et dans leur entourage proche -, dans laquelle les cours sont enseignés qui fera le niveau de qualité de l’enseignement. Cela, les Flamands l’ont bien compris. Et ils sont prêts à mettre les moyens humains et financiers là où c’est le plus nécessaire pour atteindre cet objectif.
Le PS et le cdH, en votant le décret « Inscriptions », se sont par contre placés sur un plan beaucoup plus idéologique, naviguant sur le thème de la mixité sociale, stigmatisant et confrontant les « nantis » et les « défavorisés », digne de la lutte des classes de la fin du 19 ème siècle. Au dépend de la qualité de l’enseignement et donc des enfants. Or, on sait parfaitement que si des enfants ne sont pas suivis par leurs parents, car ceux-ci éprouvent des difficultés au niveau de la langue et se tiennent par conséquent à l’écart de l’école, les résultats auprès de ces enfants s’en feront durement ressentir.
Aujourd'hui, PS et cdH s'offusquent de la volonté du Ministre de l'Enseignement flamand d'exiger que les parents d'enfants suivant les cours dans les écoles de la Communauté flamande connaissent ou suivent des cours pour apprendre le néerlandais. Les enfants devraient aussi ne pouvoir avoir accès à la première année primaire que s'ils ont au moins suivi un an de maternelle en néerlandais.
Cette volonté flamande violerait l'article 24 de la Constitution, celle de la liberté de l’enseignement et donc du libre choix des parents, selon certains politiques francophones, dont les premiers à avoir réagi sont cdH et PS !
S'il y a bien deux partis qui n'ont à faire aucune leçon sur ce plan-là, ce sont bien le PS et le cdH ! Il est un peu facile d’exiger des autres de suivre des règles que l’on ne s’applique pas à soi-même ! L’électeur saura discerner et s’en souviendra au moment opportun.
Si l’on peut espérer des mesures souples et non contraignantes, favorisant l’apprentissage des langues de la part de toutes les communautés, il faut reconnaître que c’est le niveau de connaissance de la langue, - chez les élèves et dans leur entourage proche -, dans laquelle les cours sont enseignés qui fera le niveau de qualité de l’enseignement. Cela, les Flamands l’ont bien compris. Et ils sont prêts à mettre les moyens humains et financiers là où c’est le plus nécessaire pour atteindre cet objectif.
Le PS et le cdH, en votant le décret « Inscriptions », se sont par contre placés sur un plan beaucoup plus idéologique, naviguant sur le thème de la mixité sociale, stigmatisant et confrontant les « nantis » et les « défavorisés », digne de la lutte des classes de la fin du 19 ème siècle. Au dépend de la qualité de l’enseignement et donc des enfants. Or, on sait parfaitement que si des enfants ne sont pas suivis par leurs parents, car ceux-ci éprouvent des difficultés au niveau de la langue et se tiennent par conséquent à l’écart de l’école, les résultats auprès de ces enfants s’en feront durement ressentir.
dimanche, mars 04, 2007
Votez CDF !
Pourquoi pensez-vous que quelques courageux aient eu l'audace de lancer un nouveau parti lorsque le PSC est devenu cdH ?
Par nostalgie ? Conservateurs déçus ? Rien de tout cela, mais parce que lors des dernières années du PSC déjà, il devenait de plus en plus clair que ce parti abandonnait progressivement le projet politique qui était le sien, la défense ou la promotion des valeurs qui faisaient sa spécificité, sa force, car les citoyens y reconnaissaient là des valeurs universelles, utiles, nécessaires à une vie en société épanouisante et respectueuse de tous.
La famille, la vie, la liberté responsable, aujourd'hui la liberté de l'enseignement, - qu'il soit officiel ou subsidié -, et demain ...
Vous voulez voter pour un parti qui est petit, certes, mais indépendant et donc qui exerce un véritable pouvoir d'influence sur les grands partis, qui ont peur de perdre quelques plumes aux élections ? Le CDF s'exprime librement, hors de toute pression, il émet simplement, mais avec conviction, ce qu'il juge être de simple bon sens, en vue du bien commun.
Voter pour le CDF est loin d'être un vote inutile ! Ce parti l'a déjà prouvé, notamment aux dernières communales, où, devenu crédible et fréquentable, il a été courtisé par des sections locales autant cdh, MR que socialistes, et est rentré dans l'une ou l'autre majorité, sans rien abandonner de sa spécificité et de ses priorités !
Ce combat pour la liberté de l'enseignement, du libre choix des parents, le CDF l'a mené pleinement aussi, à la suite de ces quelques mamans, de ces profs, de ses directeurs, il a interpellé les députés de tous les partis démocratiques !
Cette liberté de l'enseignement, de libre choix est NON NEGOCIABLE ! Voter pour un parti comme le CDF, après un tel débat de société, c'est lancer un réel avertissement à tous les partis politiques, les prévenir qu'il est des droits fondamentaux qui ne peuvent faire l'objet de marchandages idéologiques ou particratiques !
Les élections sont proches, c'est l'électeur qui a désormais les cartes en mains !
http://www.lalibre.be/forum.phtml?id=10&f_id=757#message22
Par nostalgie ? Conservateurs déçus ? Rien de tout cela, mais parce que lors des dernières années du PSC déjà, il devenait de plus en plus clair que ce parti abandonnait progressivement le projet politique qui était le sien, la défense ou la promotion des valeurs qui faisaient sa spécificité, sa force, car les citoyens y reconnaissaient là des valeurs universelles, utiles, nécessaires à une vie en société épanouisante et respectueuse de tous.
La famille, la vie, la liberté responsable, aujourd'hui la liberté de l'enseignement, - qu'il soit officiel ou subsidié -, et demain ...
Vous voulez voter pour un parti qui est petit, certes, mais indépendant et donc qui exerce un véritable pouvoir d'influence sur les grands partis, qui ont peur de perdre quelques plumes aux élections ? Le CDF s'exprime librement, hors de toute pression, il émet simplement, mais avec conviction, ce qu'il juge être de simple bon sens, en vue du bien commun.
Voter pour le CDF est loin d'être un vote inutile ! Ce parti l'a déjà prouvé, notamment aux dernières communales, où, devenu crédible et fréquentable, il a été courtisé par des sections locales autant cdh, MR que socialistes, et est rentré dans l'une ou l'autre majorité, sans rien abandonner de sa spécificité et de ses priorités !
Ce combat pour la liberté de l'enseignement, du libre choix des parents, le CDF l'a mené pleinement aussi, à la suite de ces quelques mamans, de ces profs, de ses directeurs, il a interpellé les députés de tous les partis démocratiques !
Cette liberté de l'enseignement, de libre choix est NON NEGOCIABLE ! Voter pour un parti comme le CDF, après un tel débat de société, c'est lancer un réel avertissement à tous les partis politiques, les prévenir qu'il est des droits fondamentaux qui ne peuvent faire l'objet de marchandages idéologiques ou particratiques !
Les élections sont proches, c'est l'électeur qui a désormais les cartes en mains !
http://www.lalibre.be/forum.phtml?id=10&f_id=757#message22
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